L’Arabie saoudite fait don de 27 millions de dollars à l’Unrwa

L’ambassadeur du Royaume en Jordanie, Nayef al-Sudairi, le sous-secrétaire général de l’Unrwa, Philippe Lazzarini, et le Dr Ahmad Abu Holie, membre du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine signent le protocole d’accord à Amman. (Abdulrahman Shalhoub/ Arab News)
L’ambassadeur du Royaume en Jordanie, Nayef al-Sudairi, le sous-secrétaire général de l’Unrwa, Philippe Lazzarini, et le Dr Ahmad Abu Holie, membre du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine signent le protocole d’accord à Amman. (Abdulrahman Shalhoub/ Arab News)
L’ambassadeur du Royaume en Jordanie, Nayef al-Sudairi, le sous-secrétaire général de l’Unrwa, Philippe Lazzarini, et le Dr Ahmad Abu Holie, membre du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine signent le protocole d’accord à Amman. (Abdulrahman Shalhoub/ Arab News)
L’ambassadeur du Royaume en Jordanie, Nayef al-Sudairi, le sous-secrétaire général de l’Unrwa, Philippe Lazzarini, et le Dr Ahmad Abu Holie, membre du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine signent le protocole d’accord à Amman. (Abdulrahman Shalhoub/ Arab News)
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L’ambassadeur du Royaume en Jordanie, Nayef al-Sudairi, le sous-secrétaire général de l’Unrwa, Philippe Lazzarini, et le Dr Ahmad Abu Holie, membre du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine signent le protocole d’accord à Amman. (Abdulrahman Shalhoub/ Arab News)
L’ambassadeur du Royaume en Jordanie, Nayef al-Sudairi, le sous-secrétaire général de l’Unrwa, Philippe Lazzarini, et le Dr Ahmad Abu Holie, membre du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine signent le protocole d’accord à Amman. (Abdulrahman Shalhoub/ Arab News)
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Publié le Lundi 24 octobre 2022

L’Arabie saoudite fait don de 27 millions de dollars à l’Unrwa

  • Ce don vise à soutenir les activités de l’agence dans les territoires palestiniens
  • Cette contribution fait partie d’un engagement plus large du Royaume pour aider l’agence à continuer de fournir des services essentiels à 5,6 millions de réfugiés palestiniens dans la région

AMMAN: L'Arabie saoudite a fait don dimanche de 27 millions de dollars (1 dollar = 1,01 euro) à l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (Unrwa) en vue de soutenir les activités de l'organisation dans les territoires palestiniens.

Le don s'inscrit dans le cadre de la promesse prise par le Royaume en 2018/2019 de soutenir les services de base de l'agence avec un don de 50 millions de dollars. La contribution fait partie d'un engagement plus large du Royaume, qui est l'un des principaux donateurs de l'agence depuis des décennies, pour aider l'Unrwa à continuer de fournir des services essentiels aux 5,6 millions de réfugiés palestiniens dans la région.

Le protocole d'accord a été signé par l'ambassadeur saoudien en Jordanie, Nayef al-Sudairi, le commissaire général de l'Unrwa, Philippe Lazzarini, et le Dr Ahmad Abu Holie, membre du comité exécutif de l'Organisation de libération de la Palestine et chef du département des affaires des réfugiés.

S'adressant à Arab News, Al-Sudairi a déclaré que la présence saoudienne était et reste au cœur de la cause palestinienne, car la position du Royaume sur la question palestinienne est considérée comme l'une des principales constantes de la politique étrangère saoudienne depuis sa création par le roi Abdelaziz ben Abdelrahmane al-Saoud, qui a été le premier à soutenir et à défendre le peuple palestinien.

«La position ferme de l'Arabie saoudite à l'égard de la cause palestinienne s'est poursuivie jusqu'au règne du roi Salmane et de son prince héritier. Le roi a annoncé la position officielle saoudienne à de nombreuses occasions, qui a été réitérée récemment par le ministre des Affaires étrangères du Royaume, le prince Faisal ben Farhane, lors de la 77e Assemblée générale des Nations unies à New York il y a quelques semaines. Il a affirmé que la question palestinienne était au premier plan des préoccupations du Royaume et que celui-ci soutenait le peuple palestinien pour qu'il obtienne ses droits légitimes, y compris la création de son État indépendant sur la base des frontières de 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale», a-t-il ajouté.

«Le soutien du Royaume et de ses institutions a contribué à la capacité de l'Unrwa à maintenir ses services vitaux pour les réfugiés palestiniens pendant des décennies», a déclaré Lazzarini. Il a ajouté que l'agence a eu des difficultés à maintenir son financement en raison de l'imprévisibilité des donateurs, et qu'au cours de la dernière décennie, «l'attention portée à cette partie du monde a diminué».

Le Royaume a donné plus d'un milliard de dollars à l'Unrwa au cours des dix dernières années, permettant à l'agence de continuer à fournir des services essentiels aux réfugiés palestiniens.

«Ce que l'agence a connu au cours des dix dernières années a fait stagner les ressources globales. Le don nous aidera à maintenir nos activités, mais la lutte continuera», a déclaré M. Lazzarini, ajoutant: «Des événements comme aujourd'hui nous donnent l'espoir de réussir, d’en sortir, mais ce n'est pas une réponse à une solution à plus long terme. Ce que nous devons voir, c'est une réactivation du processus de paix.»

«Ce soutien du Royaume s'inscrit dans le cadre de son engagement envers la cause palestinienne et les réfugiés en Palestine», a indiqué le Dr Abu Holie, ajoutant: «Cette contribution intervient alors que nous avons assisté l'année dernière à une baisse de l'aide de la part de certains pays et d'autres qui ont retiré leurs dons. Le don du Royaume contribuera à la fourniture de services et nous appelons les autres pays à respecter leurs engagements.»

Depuis 1999, les contributions fournies par l'Arabie saoudite et ses entités humanitaires et de développement ont dépassé 5,2 milliards de dollars, y compris le soutien à l'Autorité palestinienne et l'aide directe à divers secteurs, notamment la santé, l'éducation, les infrastructures et plus encore.

«L'Arabie saoudite et la Jordanie se consacrent depuis des décennies au soutien de la cause palestinienne dans divers domaines, par le biais de partenariats avec l'Unrwa, la Jordanie, la Palestine et d'autres parties. La relation historique de coopération avec l'Unrwa vise à réaffirmer notre soutien continu à ses services et notre appréciation de son rôle dans l'aide aux réfugiés palestiniens», a affirmé M. Al-Sudairi.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Soudan: les paramilitaires annoncent leur accord pour une proposition de trêve humanitaire

Les paramilitaires en guerre contre l'armée au Soudan ont annoncé jeudi leur accord avec la trêve humanitaire proposée par le groupe de médiateurs dit du Quad, qui a été rejetée mardi par l'armée soudanaise. (AFP)
Les paramilitaires en guerre contre l'armée au Soudan ont annoncé jeudi leur accord avec la trêve humanitaire proposée par le groupe de médiateurs dit du Quad, qui a été rejetée mardi par l'armée soudanaise. (AFP)
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  • "En réponse aux aspirations et aux intérêts du peuple soudanais, les Forces de soutien rapide (FSR) affirment leur accord pour s'engager dans la trêve humanitaire"
  • "Bientôt, nous vengerons ceux qui ont été tués et maltraités (....) dans toutes les régions attaquées par les rebelles", a dit le général dans un discours télévisé

PORT-SOUDAN: Les paramilitaires en guerre contre l'armée au Soudan ont annoncé jeudi leur accord avec la trêve humanitaire proposée par le groupe de médiateurs dit du Quad, qui a été rejetée mardi par l'armée soudanaise.

"En réponse aux aspirations et aux intérêts du peuple soudanais, les Forces de soutien rapide (FSR) affirment leur accord pour s'engager dans la trêve humanitaire" proposée en septembre par les pays médiateurs du Quad, les Etats-Unis, l'Egypte, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis.

"Les FSR attendent de (...) commencer des discussions sur les arrangements pour la cessation des hostilités", affirme le communiqué publié sur leur chaine Telegram en saluant les efforts de médiateurs.

De son côté, le chef de l'armée soudanaise, Abdel-Fattah Al-Burhane, a déclaré que ses forces continuaient "de défaire l'ennemi et de sécuriser l'Etat soudanais jusqu'à ses frontières".

"Bientôt, nous vengerons ceux qui ont été tués et maltraités (....) dans toutes les régions attaquées par les rebelles", a dit le général dans un discours télévisé.

Après une réunion au sommet sur cette proposition portée par Washington, l'administration pro-armée basée à Port-Soudan avait fait savoir mardi qu'elle comptait poursuivre la guerre tout en présentant un plan pour "faciliter l'accès à l'aide humanitaire" et "la restauration de la sécurité et de la paix".

Cette réunion à Port-Soudan était intervenue après des nouveaux efforts de l'émissaire américain pour l'Afrique, Massad Boulos, de faire avancer le plan présenté mi-septembre par le Quad.

"Massacre" 

Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, avait encore exhorté mardi les belligérants à "venir à la table des négociations" et "mettre fin à ce cauchemar de violence".

Le conflit entre l'armée et les paramilitaires, qui a éclaté en 2023, a fait des dizaines de milliers de morts, des millions de déplacés et provoqué la pire crise humanitaire contemporaine, selon l''ONU.

Des images satellite analysées par le laboratoire de l'université américaine de Yale montrent des "activités d'élimination des corps" dans la ville d'El-Facher, prise par les paramilitaires, avec notamment des traces "correspondant à des fosses communes".

Depuis la prise le 26 octobre de cette ville du Darfour, dans l'ouest du Soudan, l'ONU a fait état de massacres, viols, pillages et déplacements massifs de population.

De multiples témoignages, étayés par des vidéos publiées par les paramilitaires des FSR sur les réseaux sociaux, décrivent des atrocités dans cette région coupée du monde.

Selon le rapport du Humanitarian Research Lab (HRL), des données aériennes récentes indiquent aussi qu'"un massacre est en cours sur le site de l'ancien hôpital" pour enfants.

Depuis la chute d'El-Facher, les violences continuent dans la région du Darfour, où est située la ville, mais les combats se concentrent au Kordofan, une région stratégique du centre du Soudan car située entre la capitale Khartoum, contrôlée par les militaires, et le Darfour, aux mains des paramilitaires.

 


L'armée israélienne annonce avoir commencé à frapper des cibles du Hezbollah dans le sud du Liban

L'armée israélienne a annoncé jeudi avoir commencé à frapper des cibles du Hezbollah dans le sud du Liban, après avoir appelé des habitants à évacuer leurs logements dans quatre villages de cette région. (AFP)
L'armée israélienne a annoncé jeudi avoir commencé à frapper des cibles du Hezbollah dans le sud du Liban, après avoir appelé des habitants à évacuer leurs logements dans quatre villages de cette région. (AFP)
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  • "L'armée israélienne a lancé une série de frappes contre des cibles militaires du Hezbollah dans le sud du Liban", a-t-elle déclaré dans un communiqué
  • L'armée israélienne avait appelé plus tôt jeudi des habitants de trois villages du sud du Liban à évacuer leurs logements, en prévenant qu'elle allait frapper des infrastructures militaires du Hezbollah dans cette région

JERUSALEM: L'armée israélienne a annoncé jeudi avoir commencé à frapper des cibles du Hezbollah dans le sud du Liban, après avoir appelé des habitants à évacuer leurs logements dans quatre villages de cette région.

"L'armée israélienne a lancé une série de frappes contre des cibles militaires du Hezbollah dans le sud du Liban", a-t-elle déclaré dans un communiqué.

Le mouvement libanais soutenu par l'Iran avait déclaré jeudi matin rejeter toute "négociation politique" entre le Liban et Israël, proposée par des émissaires.

L'armée israélienne avait appelé plus tôt jeudi des habitants de trois villages du sud du Liban à évacuer leurs logements, en prévenant qu'elle allait frapper des infrastructures militaires du Hezbollah dans cette région.

"L'armée israélienne va bientôt frapper les infrastructures militaires appartenant à l'organisation terroriste Hezbollah dans tout le sud du Liban, en réponse aux tentatives interdites de cette organisation de reprendre ses opérations dans la région", a écrit le colonel Avichay Adraee, porte-parole de l'armée israélienne en langue arabe, sur X, en appelant les habitants de trois villages, Aita al-Jabal, al-Taybeh et Tayr Debba, à immédiatement quitter leurs logements.

Il a ensuite appelé à évacuer un bâtiment et ses environs du village de Zawtar El Charqiyeh, dans la même zone.

Dans une déclaration séparée, la porte-parole du gouvernement israélien, Sosh Bedrosian, a déclaré plus tôt qu'Israël prendrait des mesures pour garantir le respect du cessez-le-feu dans le sud du Liban.

"Israël continuera à défendre toutes ses frontières et nous continuons à insister sur la pleine application de l'accord de cessez-le-feu", a déclaré Mme Bedrosian aux journalistes.

"Nous ne permettrons pas au Hezbollah de se reconstruire", a-t-elle ajouté.

Un cessez-le-feu a mis fin en novembre 2024 à une guerre entre le Hezbollah et Israël. Ce dernier a poursuivi ses attaques contre les bastions du mouvement armé au Liban, affirmant vouloir l'empêcher de reconstituer ses forces.

Le Hezbollah a affirmé jeudi son "droit légitime" à se défendre face à l'intensification des attaques israéliennes.

 


Les États-Unis affirment bénéficier d'un soutien régional pour la résolution de paix sur Gaza

Des bâtiments détruits par l'armée israélienne  dans le quartier de Shijaiya de la ville de Gaza, lors d'une visite organisée par l'armée pour les journalistes, le 5 novembre 2025. (AP Photo)
Des bâtiments détruits par l'armée israélienne  dans le quartier de Shijaiya de la ville de Gaza, lors d'une visite organisée par l'armée pour les journalistes, le 5 novembre 2025. (AP Photo)
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  • Selon le projet de résolution, la gouvernance de Gaza serait transférée au Hamas et la démilitarisation serait imposée au groupe
  • Une copie du projet de résolution a été distribuée mercredi soir pour examen formel par le Conseil de sécurité

NEW YORK : La mission américaine auprès de l'ONU a déclaré mercredi que des partenaires régionaux clés, notamment l'Arabie saoudite, le Qatar et les Émirats arabes unis, ont apporté leur soutien à son projet de résolution pour Gaza.

Cette évolution est le signe d'une avancée diplomatique au sein du Conseil de sécurité de l'ONU en faveur d'un mandat transitoire de deux ans pour l'enclave déchirée par la guerre et du déploiement d'une force internationale de stabilisation.

Au cours d'une réunion convoquée par l'ambassadeur américain aux Nations unies, Mike Waltz, les dix membres élus et non permanents du Conseil (Algérie, Danemark, Grèce, Guyane, Pakistan, Panama, Corée du Sud, Sierra Leone, Slovénie et Somalie), rejoints par des États régionaux tels que l'Arabie saoudite, l'Égypte, le Qatar, la Turquie et les Émirats arabes unis, ont exprimé leur soutien à l'initiative menée par Washington, a déclaré un porte-parole de la mission américaine.

Le projet de résolution soutient la création d'un organe de gouvernance transitoire, appelé "Conseil de la paix". Le contrôle de la bande de Gaza serait ainsi transféré des mains du Hamas et la démilitarisation serait imposée au groupe.

Le projet de résolution autorise également le déploiement d'une "Force internationale de stabilisation" à Gaza, qui opérerait dans le cadre d'un mandat de deux ans de l'ONU. Elle aurait le pouvoir d'utiliser "toutes les mesures nécessaires" pour protéger les civils, superviser les flux d'aide humanitaire, sécuriser les zones le long des frontières avec Israël et l'Égypte, démilitariser les acteurs non étatiques et former une nouvelle force de police palestinienne.

Une copie du projet de résolution a été distribuée mercredi soir pour examen formel par les 15 membres du Conseil de sécurité.

L'adhésion régionale au projet reflète "l'opportunité historique" de mettre fin à des décennies d'effusion de sang au Moyen-Orient et de transformer Gaza en un territoire plus sûr et plus prospère, a poursuivi le porte-parole, et souligne l'intention des États-Unis de traduire la résolution en résultats plutôt qu'en "discours sans fin".

Le soutien des principaux acteurs régionaux est important car leur participation est largement considérée comme une condition préalable à l'autorisation de toute force multinationale de stabilisation d'opérer à Gaza et d'obtenir une légitimité internationale.

Le porte-parole américain a souligné qu'aucune troupe américaine ne serait déployée à Gaza. En revanche, Washington a engagé des pourparlers avec des États tels que l'Indonésie, les Émirats arabes unis, l'Égypte, le Qatar, la Turquie et l'Azerbaïdjan en vue de fournir des troupes à une force internationale de stabilisation.

Le projet de texte stipulerait qu'une telle force opérerait sous un commandement unifié, comme convenu par le Conseil de paix, l'Égypte et Israël une fois que des accords sur le statut de la mission auront été conclus.

Il décrit également une séquence d'événements au cours desquels la force stabilisera la situation sécuritaire à Gaza, démilitarisera les groupes armés non étatiques, mettra les armes hors service et supervisera la formation et le soutien de la force de police palestinienne nouvellement approuvée.