Le boom de l'açai, une chance et une menace pour l'Amazonie brésilienne

Vue de baies d'acaí exposées au marché de l'acaí sur les rives de la baie de Guajara à Belem, dans l'État du Para, au Brésil, le 4 août 2023. (AFP).
Vue de baies d'acaí exposées au marché de l'acaí sur les rives de la baie de Guajara à Belem, dans l'État du Para, au Brésil, le 4 août 2023. (AFP).
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Publié le Samedi 26 août 2023

Le boom de l'açai, une chance et une menace pour l'Amazonie brésilienne

  • Le boom de ce fruit à la mode, prisé par des stars d'Hollywood pour ses vertus énergétiques et anti-oxydantes, permet de faire vivre des dizaines de petits producteurs
  • Mais le succès est tel que la tendance à la monoculture dans certaines zones menace la biodiversité de la plus grande forêt tropicale de la planète

ABAETETUBA : Par une chaleur étouffante, José Diogo grimpe sur un palmier pour cueillir une grappe de baies noires qui ressemblent à de grosses myrtilles: c'est le début de la récolte de l'açai, fruit emblématique de l'Amazonie brésilienne.

Le boom de ce fruit à la mode, prisé par des stars d'Hollywood pour ses vertus énergétiques et anti-oxydantes, permet de faire vivre des dizaines de petits producteurs.

Mais le succès est tel que la tendance à la monoculture dans certaines zones menace la biodiversité de la plus grande forêt tropicale de la planète.

José Diogo, 41 ans, vit dans une communauté afro-brésilienne quilombola, nom donné aux descendants d'esclaves fugitifs, à 120 km de Belem, capitale de l'Etat du Para (nord), où aura lieu en 2025 la conférence de l'ONU sur le climat COP-30.

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Un ouvrier enlève les mauvaises herbes dans une plantation de palmiers acaí à Abaetetuba, dans l'État de Para, dans la forêt amazonienne brésilienne, le 4 août 2023. (AFP). 

Situé dans la commune d'Abaetetuba, son village, Igarape Sao Joao, se trouve au bord de la rivière Itacuruça, où le sol inondé une partie de l'année est un terreau propice pour le palmier pinot, sur lequel pousse l'açai.

"Quand la cueillette débute (elle a lieu d'août à janvier), notre situation s'améliore beaucoup", dit-il à l'AFP, tout en égrenant les grandes grappes qui pendent près de la cime pour faire tomber les baies dans un grand panier.

Dans une bonne journée, il remplit 25 paniers de 14 kg. Chacun de ses paniers peut lui rapporter jusqu'à 25 réais (environ 4,75 euros), selon le cours de l'açai.

Des intermédiaires achètent les baies à sa communauté et les amènent par voie fluviale à Belem, où elles sont revendues au plus vite pour éviter qu'elles ne se gâtent.

Dans le marché traditionnel Ver-o-peso, fondé en 1901, des dizaines d'hommes en sueur déchargent l'açai de leurs bateaux en pleine nuit et trouvent rapidement preneurs chez des fabricants de pulpe, de jus ou autres produits extraits de la baie.

Maycon de Souza, 30 ans, empile trois paniers sur sa tête et deux autres sur son épaule droite: 70 kg au total.

"En une nuit, je peux gagner 300 réais (environ 57 euros)", dit-il.

Biodiversité en danger

L'Etat du Para concentre plus de 90% de la production brésilienne d'açai.

Ces dernières décennies, la consommation de ce "superaliment" a explosé, bien au-delà des frontières du Brésil, dans des jus ou des sorbets hautement énergétiques.

La production d'açai a longtemps été présentée comme un modèle de "bio-économie", source de revenus pour les populations locales d'Amazonie sans rogner sur la forêt.

Mais des études ont montré que cette expansion est nocive pour la biodiversité, quand le palmier pinot prend la place d'autres espèces natives.

"À l'état naturel, il y en a 50 à 60, voire 100 par hectare. Si on dépasse les 200, on perd 60% de la biodiversité dans ces zones inondables", explique à l'AFP le biologiste Madson Freitas, chercheur au musée Emilio Goeldi de Belem.

La monoculture est également préjudiciable pour la récolte de l'açai: la disparition de certaines plantes affecte la pollinisation par des insectes comme les abeilles, les fourmis ou les guêpes, ce qui fait chuter la production.

L'açai, cette baie amazonienne qui a conquis le monde

Consommé tel quel, en jus ou en sorbet, l'açai est une baie d'Amazonie devenue la coqueluche des adeptes des "superaliments" dans le monde entier, pour ses vertus hautement énergétiques.

Où pousse l'açai?

L'açai pousse sur le palmier pinot, un arbre natif d'Amazonie connu au Brésil sous le nom d'"açaizeiro". Il peut mesurer plus de 20 mètres de haut.

Ses fruits, de petites baies noires à la fine pulpe, sont cueillis à la main, dans de grandes grappes qui pendent sur des branches près de la cime des arbres. C'est pourquoi il faut souvent grimper haut couper ces grappes quand les baies sont mûres.

La grande majorité de la production provient de zones inondées d'Amazonie, où l'açai pousse à l'origine, mais il existe également des plantations sur la terre ferme.

Auparavant, le palmier pinot ne donnait des fruits que durant la période traditionnelle de cueillette (d'août à janvier), mais de nouvelles techniques agricoles ont permis de maintenir un certain volume de production tout au long de l'année.

Boom de production

Le Brésil est le premier producteur mondial d'açai, et l'Etat amazonien du Para (nord) concentre 90% de cette production.

En 2021, le Para a produit près d'1,4 million de tonnes d'açai, ce qui a permis d'injecter 5 milliards de réais (environ 950 millions d'euros) dans l'économie locale, selon l'institut de statistiques IBGE.

Les exportations de produits à base d'açai ont augmenté de façon exponentielle ces dernières années, passant de 60 kg en 1999 à 15 000 tonnes en 2021, selon les données du gouvernement du Para.

Les principaux importateurs sont les Etats-Unis, le Japon, l'Australie et les pays européens.

De la baie au shampoing

L'açai fait partie de l'alimentation de base des habitants du Para, qui mangent les baies dans des bols, les mélangeant parfois avec de la farine de manioc.

Mais dans le reste du pays, il est surtout consommé en sorbet, avec du sucre ajouté, et souvent mélangé avec du granola.

L'açai est également utilisé dans certains produits cosmétiques, notamment des lotions hydratantes ou des shampoings.

On retrouve aussi les graines dans l'artisanat local.

«Investissement social»

Madson Freitas, lui-même originaire d'une communauté quilombola du Para, considère qu'une production durable de l'açai est possible, à condition d'établir des règles plus strictes pour éviter la monoculture.

Il préconise par ailleurs un "investissement social", par le biais de subventions, par exemple, pour encourager les petits producteurs à "préserver la forêt".

Salomao Santos, leader communautaire du village d'Igarape Sao Joao, reconnaît que la monoculture de l'açai "peut devenir problématique".

"Nous survivons grâce à l'Amazonie et l'Amazonie ne survit pas avec une seule espèce", insiste-t-il, rappelant les cycles éphémères du caoutchouc ou de la canne à sucre au début du siècle dernier en Amazonie.

Salomao Santos dirige l'association Malungu, qui représente les communautés quilombolas du Para. "Nous rendons un grand service au monde en préservant la forêt. Maintenant, nous voulons que l'Etat et tous ceux qui ont tiré profit de la sueur et du sang des esclaves paient leur dette".

Selon le dernier recensement, 1,3 million de personnes vivent dans les 3 500 communautés quilombolas du Brésil.


Des artistes français présentent une expérience artistique envoûtante à Djeddah

Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
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  • «C’est un réel plaisir d’être ici, en particulier à Hayy Jameel, où nous mêlons l’art et la science pour créer une expérience sensorielle sans équivalent»
  • «Nous abordons les données non comme de simples codes, mais comme des sensations, ce qui nous permet de caractériser l’expérience et de la partager»

DJEDDAH: L’artiste Paul Marlier et la danseuse Jeanne Morel présentent une exposition d’art numérique interactive baptisée «ETH3R» au centre culturel de Djeddah, Hayy Jameel.

Les deux créateurs français exposent des œuvres immersives réalisées à partir des données biométriques de Jeanne Morel recueillies pendant qu’elle effectue des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur.

Ce mélange unique de technologie et de créativité a captivé le public en raison de la réflexion qu’il offre sur la réalité et du contraste saisissant qu’il présente avec la nature souvent banale de la vie quotidienne.

Dans une interview accordée à Arab News, Paul Marlier évoque le processus créatif qui est à l’origine de cette œuvre numérique. Il explique également comment ces productions sont inspirées par les données humaines et scientifiques qu’il a recueillies.

«C’est un réel plaisir d’être ici, en particulier à Hayy Jameel, où nous mêlons l’art et la science pour créer une expérience sensorielle sans équivalent», déclare-t-il. «Cette expérience représente l’ADN du monde, la danse de nos âmes.»

«ETH3R présente des tableaux, mais aussi des installations dynamiques qui sont dérivées des données biométriques de ma femme, Jeanne Morel, qui danse dans des environnements divers et extrêmes, des profondeurs de l’océan jusque dans les hautes altitudes où s’entraînent les astronautes», poursuit-il.

Paul Marlier a fusionné ces données scientifiques sur la physiologie humaine avec d’autres informations comme la qualité de l’air, l’imagerie satellite et même des faits relatifs à la mer Rouge. «Ces œuvres d’art sont des empreintes émotionnelles qui rappellent des moments de grâce. Il s’agit d’un véritable travail de collaboration.»

Expliquant le processus, il précise: «Jeanne, équipée de capteurs semblables à un pinceau, est le catalyseur. Ses émotions lorsqu’elle danse sont traduites grâce à des codes en art numérique tel qu’on peut le voir dans les peintures. Nous explorons les thèmes de la fragilité, de la spiritualité et de l’unité inhérente entre l’homme et la nature – la danse universelle.»

«Nous abordons les données non comme de simples codes, mais comme des sensations, ce qui nous permet de caractériser l’expérience et de la partager. En recueillant une multitude d’informations de cette danseuse singulière, nous nous efforçons de matérialiser l’essence de la grâce», souligne Paul Marlier.

«La danse est le moyen d’exprimer ses émotions les plus profondes, de manière parfois plus simple qu’avec des mots», explique pour sa part Jeanne Morel.

«C’est l’allégorie de la vie. Elle me permet de rester vivante, connectée aux mouvements du monde. Nos corps sont constamment en train de danser, de bouger, sur cette terre qui elle-même danse autour du soleil et reste en équilibre grâce à la gravité», ajoute la danseuse.

À propos de leur première visite dans le Royaume, Paul Marlier livre cette observation: «Les gens sont très accueillants ici. La spiritualité et la poésie sont très présentes.»

«Nous admirons la spiritualité et l’ouverture d’esprit de ce pays pour tout ce qui touche l’art, notamment l’art numérique», ajoute son épouse.

«Observer des œuvres d’art qui dépassent les frontières a été un voyage envoûtant qui a captivé nos sens et a suscité l’émerveillement face à la fusion de l’art et de la technologie. Les démonstrations en direct et la danse ont été incroyablement relaxantes. Cela nous a permis de nous évader sereinement dans un autre monde, imaginaire», confie Walid Harthi, un passionné d’art.

L’exposition se tient jusqu’au 11 mai.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


A la Fondation Vuitton, «  L'Atelier Rouge  » de Matisse comme un manifeste

L'exposition s'ouvre par une phrase de Matisse expliquant à son mécène russe, Sergueï Chtchoukine, qu'il a fait "quelque chose de nouveau". (AFP).
L'exposition s'ouvre par une phrase de Matisse expliquant à son mécène russe, Sergueï Chtchoukine, qu'il a fait "quelque chose de nouveau". (AFP).
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  • "L'Atelier rouge" (1911) est exposé à partir de samedi à la Fondation Vuitton à Paris, où il pourrait livrer quelques-uns de ses secrets
  • L'assiette peinte par Matisse en 1907 figurant à l'avant-plan de "L'Atelier rouge" provient, elle, de la collection du MoMA comme le tableau lui-même, acquis par le musée new-yorkais en 1949

PARIS: Comme un manifeste, il a inspiré d'innombrables peintres abstraits américains, ce qu'Henri Matisse ne savait pas lorsqu'il l'a peint: "L'Atelier rouge" (1911) est exposé à partir de samedi à la Fondation Vuitton à Paris, où il pourrait livrer quelques-uns de ses secrets.

L'exposition réunit en effet pour la première fois toutes les œuvres présentes dans ce tableau, une quinzaine de toiles et de sculptures qui se trouvaient dans l'atelier de l'artiste à Issy-les-Moulineaux, en région parisienne.

Certaines sont célèbres, comme "Le Jeune Marin II" (1906), exposé en France pour la première fois depuis 31 ans. D'autres moins, comme "La Corse, le vieux moulin" (1898).

L'assiette peinte par Matisse en 1907 figurant à l'avant-plan de "L'Atelier rouge" provient, elle, de la collection du MoMA comme le tableau lui-même, acquis par le musée new-yorkais en 1949 et qui fait partie de ses œuvres les plus prestigieuses, selon Ann Temkin, sa conservatrice en chef.

Des documents d'archives inédits et d'autres œuvres éclairent le contexte de création de ce "tableau-énigme", selon l'expression de la commissaire générale Suzanne Pagé, telles que "La Fenêtre bleue" (1913) du MoMA et "Grand Intérieur rouge" (1948) du Musée d'art moderne du Centre Pompidou.

Révélation

L'exposition s'ouvre par une phrase de Matisse expliquant à son mécène russe, Sergueï Chtchoukine, qu'il a fait "quelque chose de nouveau".

"Chtchoukine lui a passé commande, a acheté d'innombrables tableaux, dont +La Danse+ et +L'Atelier rose+, mais, cette fois, il refuse", raconte Mme Pagé.

"Dans sa première phase, les murs de l'atelier étaient bleus avec des rayures vertes, le sol rose et le mobilier ocre, représentant un intérieur avec une perspective traditionnelle".

"Matisse l'a laissé reposer pendant un mois et il va le recouvrir entièrement de rouge vénitien très rapidement avec une technique très fébrile", développe-t-elle.

Matisse "ne l'explique pas très bien lui-même. Il a eu une révélation". Le tableau fera "fonction de manifeste pour tous les artistes américains expressionnistes et la génération suivante, du type Mark Rothko puis Ellsworth Kelly. La représentation y est abolie au profit de l'abstraction", ajoute Mme Pagé.

A l'époque, souligne-t-elle, "tout le monde a pensé que Matisse tombait dans une espèce d'errance".

Montré à Londres, il y reçoit un accueil très froid, comme à New York, Boston et Chicago plus tard, au prestigieux Armory Show. Il finira dans un club privé londonien avant d'être revendu à un galeriste new-yorkais en 1940, puis d'entrer au MoMA en 1949.

Tableau « osé »

"L'histoire de l'art n'aurait pas été la même sans lui. C'est l'un des tableaux les plus osés de Matisse, qu'il a fait à l'aube de ses 40 ans, et c'est un moment d'expérimentation dans son travail qui a le plus influencé l'histoire de l'art du reste du XXe siècle", assure Mme Temkin.

"Lorsqu'il est arrivé au MoMA en 1949, c'était au moment où les artistes commençaient à utiliser de très grands formats avec des tableaux plein de couleurs. On raconte que la femme de Rothko se plaignait de le voir aller tout le temps voir +L'Atelier rouge+ au MoMA, ce à quoi il aurait répondu que, sans lui, elle n'aurait pas la maison dans laquelle elle vivait, façon de dire qu'il n'aurait pas eu lui-même la carrière qu'il a eue", confie-t-elle.

Parallèlement à Matisse, la fondation présente une exposition consacrée justement à un artiste américain de l'abstraction, Ellsworth Kelly (1923-2015), la plus grande de cette ampleur organisée à Paris où il vécut plusieurs années, intitulée "Formes et Couleurs", en collaboration avec le Glenstone Museum (Potomac, Maryland).

Connu pour ses œuvres monochromes, à mi-chemin entre peinture et sculpture, Ellsworth Kelly a aussi conçu pour la Fondation Vuitton le décor de son auditorium, juste avant de mourir.


La French touch pour un voyage de renouveau et de bien-être à Dubaï

Le Retreat Palm Dubai MGallery vous propose une expérience unique (fournie)
Le Retreat Palm Dubai MGallery vous propose une expérience unique (fournie)
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  • La journée commence par un petit déjeuner et une activité de poterie; c’est le point de départ d’une journée entièrement consacrée au bien-être holistique
  • Situé sur les rives de Palm Jumeirah, à Dubaï, l’hôtel bénéficie d'une vue imprenable sur le golfe Arabique

DUBAÏ: Le Retreat Palm Dubai MGallery propose à ses clients un véritable voyage avec le programme intitulé «MGallery Memorable Moments», récemment dévoilé.

Le MGallery fait partie de la chaîne hôtelière française Sofitel Hotels, basée à Paris.

Conçu pour offrir une journée inoubliable de relaxation et de rajeunissement, le MGallery offre aux touristes et aux résidents des Émirats arabes unis une expérience inoubliable de bien-être, loin de l'agitation de la ville et de la vie quotidienne.

La journée commence par un petit-déjeuner et une activité de poterie; c’est le point de départ d’une journée entièrement consacrée au bien-être holistique. Qu'il s'agisse de s'immerger dans le royaume de la thérapie «color and sound», de s'adonner à des expériences sportives ou de prendre soin de son visage, la chaîne française offre une expérience qui répond à tous les goûts.

«Ces rituels servent de marqueurs profonds dans votre voyage. Ils revigorent le corps, l'esprit et l'âme», confie ainsi Samir Arora, directeur général de MGallery.

«Chaque moment de ce séjour exceptionnel est soigneusement conçu pour vous laisser un sentiment d'équilibre intérieur et de renouveau», ajoute-t-il.

Le Retreat Palm Dubai MGallery est un hôtel de luxe marqué par la French touch.

Situé sur les rives de Palm Jumeirah, à Dubaï, l’hôtel bénéficie d'une vue imprenable sur le golfe Arabique et il offre à ses clients un espace serein où ils peuvent profiter d'un service personnalisé et d'expériences culinaires exquises.

Avec son mélange inimitable d'élégance contemporaine, le Retreat Palm Dubai MGallery offre une retraite inoubliable aux voyageurs exigeants qui sont à la recherche d'une expérience unique et enrichissante.