Parti de Dubaï, l'avion s'est envolé directement vers l'aéroport de Mazar-i-Sharif en Afghanistan, avec à son bord 12,5 tonnes de médicaments et de matériel médical
La semaine dernière, l'OMS avait alerté sur le fait que son stock de matériel médical restant en Afghanistan était suffisant pour quelques jours seulement, faute de pouvoir acheminer de l'aide via l'aéroport de Kaboul
Avant la crise, le ministère de la Santé fournissait des médicaments à prix réduits pour les patients souffrant de maladies chroniques non couverts par une assurance maladie, mais plusieurs médicaments de base sont aujourd'hui introuvables
La santé de plusieurs malades du cancer s'est récemment dégradée, alors qu'ils étaient en fin de traitement et que leur état s'était amélioré
Sans apporter de réponse tranchée, ce rapport listait quatre scénarios plus ou moins probables. Celui qui était jugé le plus vraisemblable était la transmission du virus à l'homme par l'intermédiaire d'un animal infecté par une chauve-souris
Venaient ensuite les hypothèses d'une transmission directe sans animal intermédiaire, d'une transmission par la nourriture, notamment la viande surgelée, et enfin d'une fuite accidentelle de laboratoire
Dimanche, l'OMS et l'Unicef ont conjointement appelé à «l'établissement immédiat d'un pont aérien humanitaire fiable et robuste pour acheminer les équipements» médicaux
Près de 50 000 Afghans et ressortissants étrangers ont fui le pays depuis l'aéroport de Kaboul après la prise du pouvoir par les talibans, selon le gouvernement américain
«Le fait d’avoir peur est tout à fait légitime. Se poser des questions face à l’inconnu est également normal. Il faut l’admettre et continuer à informer en se référant à la science»
«Le Maroc a agi de façon extrêmement efficace, ce qui est de bonne augure pour l’avenir, mais il ne faut pas oublier ces bonnes pratiques, et capitaliser sur cette expérience»
Dans un communiqué, l'organisation souligne qu'«un nombre croissant d'agents pathogène à haut risque sont apparus et réapparu ces dernières années»
Il n'est pas seulement nécessaire de les «détecter rapidement et d'atténuer leur impact, il faut aussi des processus pour établir des études sur l'émergence de ces agents pathogènes»
Le cas de contamination par la fièvre hémorragique Ebola a été détecté samedi à Abidjan chez une jeune Guinéenne de 18 ans, arrivée en Côte d'Ivoire le 11 août en provenance de la ville guinéenne de Labé (nord)
Bien que la Côte d'Ivoire ait des frontières communes avec la Guinée et le Liberia, le pays n'avait enregistré aucun cas confirmé de la maladie à virus Ebola depuis 1994
Un cas de fièvre hémorragique Ebola a été détecté dans la capitale économique ivoirienne Abidjan, le premier depuis 1994, près de deux mois après l'annonce de la fin de l'épidémie de 2021 en Guinée voisine
En 2021, 16 cas confirmés et sept cas probables ont été recensés lors de la dernière épidémie en Guinée. Onze patients ont survécu et 12 sont décédés, selon l'OMS
«Il s'agit d'un cas isolé et importé», a assuré le ministre de la santé, ajoutant que la patiente était «actuellement en isolement et prise en charge au centre de traitement des maladies hautement épidémique du CHU de Treichville», à Abidjan
«Une réunion interministérielle d'urgence» s'est tenue samedi en fin d'après-midi sous la présidence du Premier ministre ivoirien Patrick Achi
La pression s'est accentuée sur Pékin ces dernières heures au sujet de la pandémie, qui a déjà fait plus de 4 millions de morts dans le monde
L'OMS a exhorté jeudi tous les pays à publier "toutes les données sur le virus", un appel adressé notamment à la Chine, où la fuite du coronavirus depuis un laboratoire de Wuhan, ville où il a été détecté fin 2019, reste une éventualité