Plusieurs femmes en abayas ont pleuré en déposant des fleurs sur les cercueils de ces jeunes qui jouaient sur un terrain de football au moment du drame.
Les jeunes qui ont été tués étaient âgés de 10 à 16 ans, selon les autorités locales. Environ 30 blessés étaient encore hospitalisés en Israël dimanche matin.
Les réunions qui devaient avoir lieu jeudi ont été repoussées au début de la semaine prochaine, a déclaré cette source sous couvert d'anonymat, sans préciser la raison de ce report.
La délégation israélienne devait rencontrer le Premier ministre du Qatar, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, pour discuter de nouvelles demandes israéliennes.
"Au lieu de rejeter le terrorisme, Mahmoud Abbas étreint les meurtriers et les violeurs du Hamas", a ajouté M. Katz. M. Abbas est le président de l'Autorité palestinienne qui est basée à Ramallah en Cisjordanie.
La guerre a contraint la majorité des 2,4 millions de Gazaouis à se déplacer, alors que selon l'ONU aucun lieu n'est sûr à Gaza.
La mort de Yagev Buchshtab, 35 ans, et Alex Dancyg, 76 ans, est un "sévère rappel de l'urgence" à libérer les otages pour qu'ils rentrent chez eux, a déclaré l'association israélienne dans un communiqué qui ne fournit aucune information sur les circonstan
Sur 251 personnes alors enlevées, 116 sont toujours retenues à Gaza, dont 44 sont mortes, selon l'armée.
Au moins trois personnes, deux femmes et un homme, ont été pris en charge par le personnel soignant, tous présentant de larges ecchymoses, a constaté un journaliste de l'AFP.
Des militants étrangers escortent régulièrement des Palestiniens qu'ils estiment vulnérables dans les territoires occupés, théâtres de violences.
Au lendemain d'une attaque de drone meurtrière à Tel-Aviv menée par les Houthis, l'aviation israélienne a bombardé le port stratégique de Hodeida tenu par les rebelles dans l'ouest du Yémen en guerre, faisant, selon les insurgés, trois morts et près de 90
Malgré les appels pressants à un cessez-le-feu et les craintes de la communauté internationale d'un embrasement régional, la guerre à Gaza ne connaît pas de répit avec la poursuite de l'offensive dévastatrice israélienne.
Le mouvement islamiste libanais a annoncé avoir tiré des dizaines de roquettes de type Katioucha sur plusieurs localités du nord d'Israël en représailles.
Près d'une centaine de milliers de personnes ont été déplacées par ces frappes dans les villages libanais proches de la frontière. Des clichés publiés par des journalistes locaux montrent des destructions massives dans de nombreuses villes frontalières.
Selon le Croissant-Rouge palestinien, au moins cinq personnes ont été tuées dans une frappe sur l'école Al-Razi de Nousseirat, gérée par l'ONU dans le centre du territoire palestinien, qui abritait "des milliers" de déplacés.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, affirme vouloir poursuivre la guerre jusqu'à la destruction du Hamas, au pouvoir depuis 2007 dans la bande de Gaza et classé organisation terroriste par Israël.
Le mouvement islamiste, dénonçant des "massacres" commis par Israël "contre des civils non armés" dans le territoire palestinien assiégé, a annoncé dimanche son retrait des négociations indirectes sur un cessez-le-feu.
Après la frappe sur Al-Mawasi, un responsable de l'Unrwa a raconté avoir assisté, à l'hôpital Nasser de Khan Younès, à "certaines des scènes les plus horribles" depuis le début de la guerre.