Astiyazh Haghighi ne portait pas de voile islamique, défiant ainsi les règles strictes de la République islamique concernant les femmes, qui ne sont pas non plus autorisées à danser en public en Iran, encore moins avec un homme
Citant des sources proches de leurs familles, HRANA a indiqué qu'ils ont été privés d'avocats pendant la procédure judiciaire et que les tentatives pour obtenir leur libération sous caution ont été rejetées
«La chambre de l'application des peines de la cour d'appel de Paris a, ce jour, admis Pierre Alessandri au bénéfice d'une mesure de semi-liberté probatoire à une libération conditionnelle»
Pierre Alessandri, qui était libérable depuis 2017 après avoir purgé ses dix-huit ans de période de sûreté, avait déjà fait trois demandes de remise en liberté
L'homme de 34 ans, qui était jugé depuis le 9 janvier, a été déclaré coupable de 28 chefs d'accusation, dont huit pour «meurtre en vue de rejoindre l'Etat islamique»
L'attaque s'était soldée par le bilan le plus meurtrier à New York après les attentats du 11 septembre 2001
L'accord dit de poursuite différée (DPA) prévoit que le ministère retire l'inculpation au bout de trois ans si l'entreprise respecte certaines conditions
Un arrangement bien trop complaisant aux yeux des familles, qui ont saisi la justice pour ne pas avoir été consultées
Arrivés ensemble et se tenant côte à côte à la barre du tribunal correctionnel, les deux prévenus ont reconnu le dérapage survenu dans la nuit du 6 au 7 août à Rosny-sous-Bois, près de Paris, où résidait le couple avec leur fille de six mois
François Logerot reprochait à M. Mélenchon des propos diffusés dans des vidéos et dans un livre après que la CNCCFP eut effectué un signalement portant sur des soupçons d'irrégularité des comptes de LFI lors de la campagne présidentielle de 2017
Le tribunal relève en outre que les propos de M. Mélenchon sont «dénués de caractère vulgaire ou ordurier»
Ahmed Samsam, un Danois de 34 ans d'origine syrienne au casier judiciaire bien étoffé, n'a jamais rejoint l'organisation État islamique, ont affirmé plusieurs contre-enquêtes des médias danois
L'intéressé, lui, est formel: lors de séjours en Syrie en 2013 et 2014, il travaillait pour les services secrets puis le renseignement militaire danois, qu'il informait sur les combattants jihadistes étrangers
«Vous ne saviez pas qu'il était interdit de faire des fouilles?», demande la présidente au prévenu, qui, depuis «tout petit», avait l'habitude de se promener dans cette zone
«Je sais que c'est interdit sur la préhistoire, les Romains, tout ça, mais je ne savais pas du tout que c'était interdit pour la dernière guerre», se défend l'homme