Jamais une audience criminelle n'avait connu une telle durée, ni un tel nombre de parties civiles
Moment crucial de la première phase du procès, et là aussi inédit dans la place qui leur a été accordée, environ 350 victimes se sont succédé pendant cinq semaines à la barre
Les Français ont encore vécu en 2021 au rythme effréné des mesures gouvernementales anti-Covid, alors même que les hôpitaux souffraient d'un manque accru de personnel et de lits
Fort d'un rapport très attendu de l'historien Benjamin Stora sur la colonisation et la guerre d'Algérie, Emmanuel Macron décide le 20 janvier la tenue d'une série d'«actes symboliques» en France
Ce recours, annoncé lundi par communiqué à Genève, suspend la peine de 3,75 millions d'euros d'amende et la confiscation d'un milliard prononcées en appel le 13 décembre dernier
La Cour de cassation, plus haute juridiction de l'ordre judiciaire français, examine uniquement le respect des règles de droit et non le fond des litiges
«Ma prière dans le magasin a été une réaction émotionnelle qui venait du cœur. J’étais en extase, c’était une invocation pas un cri de guerre»
La scène avait provoqué un mouvement de panique et un client avait fait une chute lui occasionnant une fracture à l’épaule. Le magasin avait été évacué par le personnel, qui avait appelé la police
La lauréate du prix Nobel, 76 ans, est assignée à résidence depuis le coup d'Etat du début d'année qui l'a renversée
Les accusations portent sur les premières heures du coup d'Etat, lorsque des soldats et des policiers ont fait irruption à son domicile et l'auraient trouvée en possession de matériel non autorisé
Devant les rescapés et proches qui ont témoigné pendant cinq semaine de l'horreur des attentats, Périès a été bienveillant, n'interrompant que très exceptionnellement même lorsque l'on s'éloignait franchement des faits jugés
Vendredi, Jean-Louis Périès a suspendu l'audience pour la dernière fois de l'année. «Nous avons tous besoin d'un moment de respiration. Rendez-vous dans cette salle le 4 janvier»
«Je voudrais que vous essayiez de vous mettre à ma place en 1994, ce que j'ai fait pour sauver des gens. Je vous remercie»
Le condamné, cantonnier à Rouen et naturalisé français depuis 2010, a enfilé sa veste de cuir, échangé avec ses avocats qui l'ont réconforté, avant d'être menotté sur place et emmené par des policiers
Saisie par Omar Raddad d'une requête en révision, la commission d'instruction a ordonné un complément d'information, a précisé cette source
Désigné par l'inscription «Omar m'a tuer», tracée avec le sang de la victime sur la scène de crime, l'ex-jardinier avait essuyé un premier rejet d'une demande de révision en 2002