"Nous avons été extrêmement préoccupés en apprenant qu'une citoyenne néo-zélandaise était concernée par l'épouvantable incident impliquant des passagères sur plusieurs vols de Qatar Airways", a déclaré le ministère des Affaires étrangères néo-zélandais
Le 2 octobre, des agents de l'aéroport de Doha avaient fait descendre d'avion des passagères d'un des vols à destination de Sydney, les forçant ensuite à subir des examens gynécologiques
La Turquie et le Qatar ont lancé un appel au boycott des produits français en réaction aux déclarations d’Emmanuel Macron sur les caricatures de Charlie Hebdo
Des élus demandent la remise en cause d’une convention fiscale avantageuse signée en 2008 entre la France et le Qatar
La majorité des Qataris veulent raviver l'accord sur le nucléaire
Les engagements qatariens multiples auprès de l’Iran, pays considéré par beaucoup dans l'establishment de la politique étrangère américaine comme un «acteur malveillant»
Par Caline MALEK avec Robert EDWARDS
·
26 octobre 2020
Un vol à destination de Sydney en provenance de l'Aéroport international Hamad devait quitter l'aéroport le 2 octobre, mais a été retardé de plus de quatre heures suite à la découverte par les autorités d'un nouveau-né décédé dans l'aéroport
Toutes les femmes à bord de l'avion ont reçu l'ordre de débarquer. En revenant, « la plupart d'entre elles étaient extrêmement contrariées » selon le Dr Wolfgang Babeck
Yassin est un Palestinien-Israélien qui a fait l'objet d'un reportage publié sur AJ+ Arabic le 16 septembre. Dans ce reportage, la chaîne d'information l'accuse, ainsi que sa plateforme de médias sociaux, de participer à la propagande israélienne
Nas Daily, qui compte plus de deux millions d'abonnés sur Instagram, a répondu à AJ+ Arabic dans une vidéo intitulée « Méfiez-vous d'AlJazeera » (Be Careful of AlJazeera), publiée sur ses comptes de médias sociaux
Le rapport documente des cas de passages à tabac réguliers subis par 15 des femmes, dont 40 déclarent avoir été giflées, crachées dessus ou même tirées par les cheveux
Quatre-vingt-sept des 105 personnes interrogées révèlent que leurs passeports ont été confisqués par leurs employeurs, les empêchant ainsi de rentrer chez elles