«Il y a des Français, des Allemands des Belges de confession musulmane qui ont immigré en Syrie et en Irak pour vivre leur religion dignement. La France les a assassinés», déclare Salah Abdeslam
«Le 13-Novembre était inévitable. Mais vous pouvez éviter de nouveaux 13-Novembre, et c'est pour cela que je parle de dialogue», lâche l'accusé
Il s'agit de permettre à vingt étudiants irakiens de suivre à partir de l'automne un cursus de quatre mois qui leur apprendra le processus menant «d'une idée à un film abouti»
Plusieurs comédiens et professionnels belges du cinéma participeront au cursus de formation
Ce matin-là, deux djihadistes s'étaient fait exploser à l'aéroport international de Bruxelles-Zaventem, et un troisième dans le métro de la capitale belge
Au total dix inculpés du dossier ont été «renvoyés ce jour devant la cour d’assises par la chambre des mises en accusation de Bruxelles
Au procès des attentats du 13-Novembre en France, un enquêteur ému a raconté jeudi son arrivée sur les terrasses parisiennes mitraillées par le commando djihadiste
Le policier se souvient aussi du silence sur les lieux. «Il n'y avait pas un seul bruit. La seule chose qu'on pouvait entendre, c'était les portables des victimes qui sonnaient», dit-il la voix brisée
Sur la vidéo, les chaussures orange d'Abdelhamid Abaaoud sont bien visibles. Elles avaient été décrites par des témoins des attaques des terrasses parisiennes
Resté un instant coincé, Abdelhamid Abaaoud tente de se dégager, puis échange tout sourire quelques mots avec un autre voyageur, semblant plaisanter de sa situation
«Tous les policiers» belges, même ceux «qui faisaient de la TVA», sont mobilisés pour "remonter la piste" des commandos, partis de Belgique la veille des attaques, et «traquer» les survivants
Salah Abdeslam qui a fui à Bruxelles sera lui retrouvé après quatre mois de cavale, le 18 mars 2016. Quatre jours plus tard, la même cellule jihadiste frappe le métro et l'aéroport de Bruxelles et fait 32 morts
A la fois combattant, chef d'escouade, prosélyte en ligne, recruteur et membre de la police de l'EI selon l'accusation, ce «djihadiste intégral» a été condamné à trente ans de prison en première instance
Dès l'été 2013, Abou Hafs Al Faransi - son nom de guerre - est «émir» à la tête d'un bataillon de plusieurs dizaines de combattants français
Pour Amélie Nothomb, "Premier sang", le 30è roman de cette auteure très populaire, est peut-être l'occasion de rafler un prix, elle qui n'a pas été retenue par le Goncourt
Le prix Renaudot a aussi présenté jeudi la liste des dix auteurs retenus pour son prix du meilleur essai