Plusieurs milliers de migrants, originaires principalement du Proche-Orient, sont bloqués depuis des jours le long de la frontière polonaise, dans l'espoir de gagner l'UE
Les grandes puissances du G7 ont «condamné l'orchestration par le régime bélarusse» de cette crise migratoire, sommant Minsk d'y mettre un terme «immédiatement» et d'autoriser l'accès à l'aide humanitaire
Le comportement anarchique des milices pourrait conduire à une «libanisation» de l’Irak
Le consensus général est que des liens économiques et politiques plus étroits avec les pays arabes pourraient réduire l’ingérence brutale de Téhéran dans les affaires de Bagdad
les champs à Ninive, au Kurdistan d'Irak voisin et en Syrie toute proche se sont progressivement asséchés l'été dernier pour ne plus ressembler qu'à des amoncellements de poussières impropres à la culture
Outre le déficit en pluies, l'Irak souffre de la baisse du niveau des cours d'eau, dont ceux du Tigre et de l'Euphrate, provoquée par les barrages construits en amont en Turquie et en Iran
Cette annonce intervient alors que quelques milliers de migrants, originaires principalement du Proche-Orient, sont bloqués dans des conditions difficiles à la frontière entre le Bélarus et la Pologne
Selon le quotidien polonais Gazeta Wyborcza, dix migrants sont morts dans la zone frontalière ces dernières semaines
Ces derniers jours, la crise migratoire en Europe s'est focalisée sur la frontière entre la Pologne et le Bélarus où les migrants sont au centre d'un bras de fer entre Minsk et Varsovie
Entre 3.000 et 4.000 d'entre eux, principalement des Kurdes, sont pris au piège par un temps glacial à la frontière, où la présence de troupes des deux côtés fait craindre une confrontation
Le long du fleuve Tigre, des communautés autrefois florissantes affrontent une crise qui menace leur existence en raison des températures élevées qui sont devenues la norme
Le président irakien, Barham Salih, qualifie le changement climatique de menace la plus préoccupante sur le long terme pour son pays
Par Kareem Botane et Robert Edwards
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10 novembre 2021
Le prince héritier a souhaité une bonne santé à al-Kazimi tout en réitérant le soutien continu du Royaume à l'Irak, à son gouvernement et à son peuple, ainsi qu'à sa sécurité et sa stabilité
Dimanche, trois drones ont visé la maison d'al-Kazimi dans la zone verte de Bagdad, blessant plusieurs de ses gardes du corps