«A bas le coup d'Etat. Liberté, liberté pour les détenus», scandaient les sympathisants du Front de salut national (FSN), la principale coalition d'opposition
Le chef de l'UGTT Noureddine Taboubi a rejeté aussi les arrestations d'opposants et appelé le président Saied au «dialogue» et à des «changements démocratiques et pacifiques»
Le 21 février, M. Saied a affirmé que la présence en Tunisie de «hordes» d'immigrés clandestins provenant d'Afrique subsaharienne était source de «violence et de crimes»
Le discours présidentiel, condamné par des ONG comme «raciste et haineux», a provoqué un tollé en Tunisie où les personnes d'Afrique subsaharienne font état depuis d'une recrudescence des agressions les visant