le président de l'Association des commerçants de Beyrouth a annoncé un « rejet total du confinement à la lumière de l'échec de l'État à fournir un revenu alternatif à la population, et des restrictions d'accès à l'argent déposé dans les banques »
« Une série de mesures aurait pu être prise pour remédier à l'effondrement économique auquel le pays est confronté… mais le problème est que personne au pouvoir ne veut faire de concessions »
« A partir de demain (mercredi), nous ouvrirons nos portes », a annoncé Tony Rami, président du syndicat des propriétaires de restaurants, cafés, boîtes de nuit et pâtisseries, après que les autorités ont imposé le 21 août un nouveau confinement
« Les décisions démagogiques de fermeture ne nous concernent pas, nous devons coexister avec le coronavirus »
Parmi les nombreux défis auxquels est confronté le Liban à la suite de l’explosion qui a ravagé Beyrouth le 4 août, le péril économique est l’un des plus graves, et reste à ce jour sans solution
« La kleptocratie enracinée, une classe politique corrompue, des acteurs complices dans le secteur bancaire et financier, tout cela indique que l’oligarchie politico-financière n’est pas prête à faire réformes », explique Nasser Saidi
Publié chez Sabine Wespieser, le roman sort en librairie jeudi, et le prix sera remis à la lauréate le 8 septembre, lors d'une cérémonie au Musée de La Poste
Le roman débute en 1983, année où la guerre civile qui déchire alors le Liban, atteint son paroxysme
Ces avions d’aide sont la continuité d’un pont aérien annoncé par l’Égypte au début du mois, dans le but de fournir une aide d’urgence après la catastrophe de Beyrouth
L’Église a envoyé les secours par le biais du Conseil des Églises du Moyen-Orient au Liban
Il y a quelques jours, une source officielle révélait à l’agence Reuters que la Banque du Liban ne pouvait assurer les subventions sur le carburant, les médicaments et le blé que pour trois mois. Une information confirmée par M. Salamé
"Nous allons bientôt faire un circulaire pour responsabiliser ces déposants et les inciter à ramener une liquidité importante au pays sans leur confisquer leur argent pour autant. Aujourd’hui, c’est une question éthique, et non pas légale"