Blinken a salué «le courage remarquable à travers l'Iran montré par des femmes, des jeunes et beaucoup d'autres pour défendre leurs droits fondamentaux»
Le président iranien Ebrahim Raïssi a accusé jeudi les Etats-Unis de mener «une politique de déstabilisation» contre la République islamique
«Vendredi vers 05h00 (01h30 GMT) dans la ville de Beyrom, deux personnes à moto, qui écrivaient des slogans, ont été prises en chasse par les deux officiers», a indiqué à Irna le chef du pouvoir judiciaire de la province de Fars, Kazem Moussavi
Mais les deux officiers sont tombés «en martyrs, en service», atteints «à la tête et à la poitrine» par les tirs des deux motards, a ajouté l’agence officielle
L'indignation provoquée par le décès le 16 septembre de Mahsa Amini a déclenché la plus grande vague de manifestations et de violence en Iran depuis les protestations de 2019
Depuis, des jeunes femmes, étudiantes et écolières sont les fers de lance des manifestations au cours desquelles elles scandent des slogans antigouvernementaux, mettent le feu à leur foulard et affrontent les forces de sécurité
Une nouvelle fois, le pouvoir en Iran a mis en cause les Etats-Unis, son ennemi juré. «Washington et ses alliés ont recours à une politique de déstabilisation vouée à l'échec», a déclaré l'ultraconservateur Raïssi
Les autorités iraniennes affirment que Mahsa Amini est décédée des suites d'une maladie et non de «coups», d'après un rapport médical rejeté par son père. Son cousin a affirmé qu'elle était décédée après «un violent coup à la tête»
La cérémonie de signature, précédée des hymnes algérien et palestinien, s'est déroulée devant une large assistance formée de membres du gouvernement, chefs de partis algériens et d'ambassadeurs de pays arabes
La déclaration a été signée dans le Palais des Nations où, le 15 novembre 1988, le chef de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), Yasser Arafat, «avait annoncé la création d'un Etat palestinien», a souligné le président algérien
Les étudiantes qui protestaient contre le port obligatoire du hijab ont été emmenées dans des «établissements correctionnels psychologiques» pour «rééducation», déclare le ministre iranien de l’Éducation
Le syndicat des enseignants a sévèrement critiqué le ministère de l’Éducation pour avoir estimé que les directrices d’établissements devaient devenir «le bras exécutif des forces de sécurité»