Le nouveau chef de la diplomatie israélienne Yaïr Lapid s'est engagé lundi à améliorer le dialogue avec le parti démocrate américain et des pays européens
Benjamin Netanyahu a entretenu des relations houleuses avec le président américain Barack Obama, mais plus que cordiales avec son successeur, le républicain Donald Trump
Pour survivre, le gouvernement devrait se concentrer sur la relance économique post-pandémie et éviter les sujets qui divisent, notent des analystes
Selon Guy Ben-Porat le gouvernement pourrait être rattrapé par des questions sensibles comme le développement des colonies israéliennes en Cisjordanie ou la situation dans l'enclave palestinienne de Gaza
La très hétéroclite coalition a remporté le vote de justesse, par 60 voix contre 59 pour l’opposition formée du Likoud de l'extrême droite et des ultra-orthodoxes
Amer, l’ancien Premier ministre assure qu'il reviendrait « bientôt » au pouvoir malgré son procès pour corruption, malversation et abus de pouvoir dans une série d'affaires
Le dirigeant de 71 ans est devenu en quelques heures chef de l'opposition, sans prises directes sur la destinée du pays qu'il a gouverné pendant plus d'une décennie
Après la conquête et la gestion du pouvoir, le roi Netanyahou descend de son trône en rêvant, dit-il déjà, d'y remonter
À Tel-Aviv la libérale, le départ de Benjamin Netanyahou est vécu comme un moment «historique»
«Bennett n'est pas mon rêve le plus doux mais pour gagner la guerre parfois il faut savoir perdre de petites batailles, et pour remplacer Bibi, nous avions besoin de ça»
Le Premier ministre sortant et ses partisans « feraient tout leur possible pour faire tomber ce nouveau gouvernement de constitution fragile »
« Les Palestiniens n'ont aucun espoir » car, comme son prédécesseur, Bennett défend la colonisation et l’«israélisation» de Jérusalem et s’oppose à la solution à deux États
Né en novembre 1963 à Tel-Aviv, métropole où il concentre ses appuis, Yaïr Lapid est le fils du défunt journaliste et ancien ministre de la Justice Tommy Lapid
Il disait ne pas chercher à habiter rue Balfour, mais à s'allier à d'autres partis pour chasser le «roi Netanyahu» de son trône et à «briser les barrières qui divisent la société israélienne»
Des groupes affirment que 8 000 personnes ont participé aux manifestations, dont 185000 ont écrit aux députés avant le débat
«Israël a violé plus de 40 résolutions de l'ONU; la campagne pour imposer des sanctions se poursuivra jusqu'à ce qu'Israël soit tenu responsable de ce non-respect du droit international»