Dans «Le Grand restaurant», écrin intimiste à deux pas de l'Elysée à Paris, auréolé de deux étoiles Michelin et où l'on entre par les cuisines, le chef de 52 ans propose le «tour de France des territoires et des mijotés modernes»
Protéger le patrimoine culinaire paraît évident dans le pays de la gastronomie mais, à ses yeux, les chefs français ne placent plus autant le curseur là-dessus. Et les autorités ne font pas assez pour le défendre
Hors cinéma, «près de 650.000 personnes» se sont rendues sur place, souligne M. Rebsamen, ravi que la Cité n'attire pas que les touristes mais aussi les Dijonnais
«C'est un gouffre financier», affirme-t-il, ce que le maire dément : les musées et leur boutique, les seuls espaces gérés par la mairie tandis que tout le reste est privé, accusent un déficit d'un million d'euros
Nabati, le pop-up de crèmes glacées de la chef végétalienne saoudienne Ola Kayal à Djeddah, encourage une alimentation saine et entièrement naturelle
Kayal a ouvert son premier magasin, Nabati, à Miami, en Floride, six mois avant le début de la pandémie, et a réussi à rester en activité malgré les restrictions
Alan Geaam estime que pour faire rayonner la culture culinaire de son pays, il faut faire évoluer les recettes vers "l'élégance et le raffinement" de la cuisine française
Comme lui, des chefs étoilés grec, brésilien ou mexicain installés à Paris mettent le savoir-faire français au service des cuisines de leur enfance
L'arrivée de Loiseau du Temps pourrait repositionner Besançon sur la carte de la gastronomie française. La ville n'a jamais digéré la perte simultanée de ses deux établissements étoilés en 2006
Selon Bérangère Loiseau, les regards du Michelin devraient naturellement se tourner vers Besançon, même si décrocher une étoile n'est pas la priorité
«C’est un jour de fête, les fidèles se doivent d’être aimables et courtois les uns envers les autres, c’est également l’occasion de faire preuve de pardon et donc d’enterrer les vieilles querelles entre voisins ou dans la famille»
«Nous avons une relation quasi fusionnelle avec le couscous du vendredi qui rassemble la famille et les amis, c’est donc le plat idéal pour le jour de l'Aïd»
La technique est la même depuis le temps des pharaons: ce poisson d'eau douce est d'abord séché puis plongé dans du sel plusieurs semaines avant d'orner la table des Egyptiens qui s'en délectent malgré son odeur qui vous prend au nez
De nos jours, si ce plat --et surtout son odeur-- divise, il n'en reste pas moins un incontournable des célébrations de Cham al-Nessim, qui aura lieu lundi cette année