«Le geste est en l’état totalement inexpliqué», précise encore le parquet. Le lycée Malherbe est un établissement réputé calme, proche du centre ville de Caen
En déplacement aux Sables d'Olonne, le ministre de l'Education nationale Pap Ndiaye a affirmé qu'il allait se rendre au lycée Malherbe «dès que possible dans les jours à venir»
L'assaillant a vu son bras repoussé, puis a été contenu par plusieurs témoins, avant d'être rapidement emmené dans un véhicule de patrouille par la police, tandis que Mme Kirchner était mise à l'écart avant de monter chez elle
Il n'a pas fait de déclaration depuis son arrestation
La banque a abandonné les charges retenues contre Bassam al-Sheikh Hussein et un juge a donc ordonné sa libération
Jeudi, M. Hussein avait fait irruption dans une agence du centre-ville de la Federal Bank, réclamant, fusil à la main, ses plus de 200 000 euros d'économies bloqués depuis l'effondrement bancaire au Liban
L'intellectuel britannique et américain de 75 ans n'est plus sous assistance respiratoire et «la voie du rétablissement a commencé», s'est félicité son agent Andrew Wylie
Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a déclaré dimanche que des médias d'Etat iraniens «jubilaient» après l'agression de l'intellectuel
Âgé de 28 ans, le footballeur français, suspendu depuis un an par Manchester City, est accusé par sept femmes
Leur procès devait initialement s'ouvrir le 25 juillet mais avait été reporté de deux semaines. Il est prévu pour durer quinze semaines, selon le tribunal
Un deuxième suspect, soupçonné d'avoir participé à l'agression de trois policiers en civil le 20 juillet dans le quartier de la Guillotière à Lyon, a été mis en examen lundi
Mardi, un premier suspect de 26 ans avait déjà été mis en examen, du même chef, et placé en détention provisoire
Plusieurs plaignantes ont déjà fait état de harcèlement sexuel systématique, de menaces et d'intimidations au sein d'Assu 2000 à Tanger, et ce dans un climat de précarité sociale
Elles ont dit avoir été licenciées après avoir refusé de «céder au harcèlement et au chantage» de M. Bouthier «et de ses complices» parmi les cadres français et marocains de la société d'assurances implantée à Tanger