Plus de 500 personnes, des amateurs d’art et de culture, mais aussi des collectionneurs se sont pressés aux portes de « Beit Beirut » pour venir célébrer et soutenir l'action du magazine
L’évènement était réellement placé sous le signe de la solidarité et a donné l’occasion aux beyrouthins de renouer, le temps d’une soirée, avec « la vie d’avant »
J’ai su directement que j’avais envie d’écrire un livre sur lui, mais c’était un travail monstre, qui me faisait peur
Ce roman peut donner des clés, faire comprendre l’Histoire à travers l’histoire d’un homme qui s’est battu à la fois pour le Maroc et pour l’Algérie, alors qu’aujourd’hui les deux pays ne se parlent pas
«J’ai une fascination pour des personnages en errance, mi-humains, mi-fantômes, mi-anges»
«J’aimerais retourner à Marrakech. Je veux peindre de vrais êtres, dans des scènes du quotidien, même urbaines. L’image d’un homme perdu contrastant au milieu du chaos de la ville, de la frénésie ambiante»
Pour la directrice du festival, il s’agit de «montrer toute la richesse et la diversité du cinéma libanais en rendant accessible au grand public une large palette de créations»
«Nous nous réjouissons des passerelles qui ont été établies avec d’autres festivals européens», nous explique Sarah Hajjar
L’artiste burkinabé a été exposé à la galerie Afikaris à Paris, et fera une escale à la 14ᶱ Biennale d’art africain, Dak’Art 2022
«Mon travail actuel s’apparente à une géométrie spirituelle de l’espace: le dedans, le dehors et inversement, ce que l’œil nu ne peut pas percevoir. J’appelle cela le battement cardiaque de la Terre»