L'élu de Californie s'est heurté à la rébellion d'une vingtaine d'élus trumpistes, qui lui reprochaient d'être trop timoré, pas assez solidaire de l'ex-président ou encore de manquer de convictions
Compte-tenu de la contre-performance du parti aux élections de mi-mandat, il a dû les courtiser pendant quatre jours pour les faire rentrer dans les rangs
Ce blocage a des répercussions très concrètes: sans président de la Chambre, les élus ne peuvent pas prêter serment, et donc passer quelconque projet de loi
L'élection du «speaker», le troisième personnage le plus important de la politique américaine après le président et le vice-président, nécessite une majorité de 218 voix