Selon un rapport de Semafor, le responsable de l'information du WSJ a admis dans un courriel que l'article manquait de preuves solides, mais qu'il n'était ni inexact ni trompeur.
Le WSJ a affirmé que le personnel de l'UNRWA avait participé à l'attaque du 7 octobre, une affirmation largement démentie par les organisations internationales.
Selon les Gardiens de la révolution, armée idéologique d'Iran, Ismaïl Haniyeh a été tué le 31 juillet par un "projectile de courte portée" tiré sur la résidence où il séjournait dans le nord de Téhéran.
Les tensions déjà vives au Moyen-Orient, dans le contexte de la guerre entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza, ont redoublé après l'assassinat de Haniyeh.
La frappe a visé une maison du village de Mayfadoun, a indiqué la source qui a requis l'anonymat et avait dans un premier temps fait état de quatre tués.
De son côté, l'armée israélienne a annoncé avoir "frappé une structure militaire du Hezbollah dans la région de Nabatieh", où se trouve Mayfadoun, "utilisée par plusieurs terroristes" qui préparaient selon elle des attaques contre Israël.
Cette année, ils n'étaient que quelques centaines à converger vers le lieu de l’explosion, pour commémorer ce triste anniversaire et réclamer justice
Leur nombre s’amenuise avec le temps qui passe. Tel est probablement le pari des instigateurs de cet acte de barbarie, qui misent sur l’usure pour aboutir à l’impunité
Attaque présumée à la roquette (lundi) contre des forces américaines et de la coalition (antijihadiste) ; les premières indications font état de plusieurs blessés du côté du personnel américain
Plus tôt dans la journée, des sources irakiennes avaient indiqué que des roquettes avaient été lancées lundi contre cette même base, située dans la province d'Al-Anbar
La Jordanie a condamné l'assassinat à Téhéran, en Iran, le qualifiant de crime qui risque d'enflammer les tensions régionales.
Il a appelé à une action internationale concrète et à des positions claires qui empêcheraient le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et les "ministres extrémistes et racistes" de son gouvernement d'aggraver encore les tensions.
Dans un communiqué, les experts de l'ONU, soulignent que "l'escalade du recours à la torture par Israël contre les Palestiniens en détention est un crime contre l'humanité qui peut être évité".
Les experts affirment avoir reçu "des informations étayées" faisant état de nombreux cas de torture, d'agressions sexuelles et de viols, "dans des conditions inhumaines atroces".