Accusés d'infiltrer les manifestations, le mouvement Rachad et le Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie sont désormais considérés comme des organisations terroristes
La solution sécuritaire n'a jamais permis de sortir des crises politiques. Elle est plutôt considérée comme un encouragement pour les Algériens à poursuivre pacifiquement le Hirak, selon Me Benlahrech
«Nous venons dire aux pays européens "arrêtez de légitimer ce régime qui ne respecte pas les droits de l'Homme, et aidez nous à construire une véritable démocratie"»
Dans la foule, outre une nuée de drapeaux algériens, des pancartes réclamaient «La souveraineté au peuple», «La liberté pour l'Algérie» et affichaient un large «NON à l'armée»
Brahim Ghali a voyagé « avec des documents falsifiés et une identité usurpée », a affirmé samedi un haut responsable du ministère des Affaires étrangères marocain
M. Ghali a été hospitalisé en avril dans un établissement de Logroño (nord) après avoir contracté la Covid-19
Des rassemblements ont quand même eu lieu à Béjaïa et à Tizi Ouzou, grandes villes de Kabylie, malgré des interpellations
La plupart des manifestants interpellés ont été relâchés, mais certains, en garde à vue, seront convoqués devant la justice, où ils risquent des peines de prison ferme
Depuis le matin, policiers en uniforme ou en civil, avaient littéralement envahi les endroits névralgiques de la ville, bloquant les grandes artères et encerclant les mosquées d'où partent habituellement les cortèges de manifestants
Reporters et photographes indépendants sont privés d'accréditation et ne peuvent pas couvrir normalement les marches du Hirak
"Une école ne saurait ériger en modèle un bourreau des guerres coloniales. Nous ne pouvons ni l'expliquer ni le justifier à nos enfants", a justifié le maire de Marseille
Le conseil municipal de Marseille a donné vendredi le nom d'un tirailleur algérien ayant participé à la libération de la ville en 1944, à une école auparavant baptisée Bugeaud