Malgré la mise en œuvre en 2005 d'une Charte pour la paix et la réconciliation, censée tourner la page de la «décennie noire», des groupes armés islamistes restent actifs
Les autorités font état de «résidus du terrorisme» depuis la fin de la sanglante guerre civile qui a opposé des groupes islamistes aux forces de sécurité, au prix de 200.000 morts
Depuis début décembre, 17 éléments accusés «de soutien aux groupes terroristes» au total ont été arrêtés dans plusieurs wilayas (préfectures) du nord, du centre et du sud du pays
Le 1er décembre, le ministère de la Défense avait annoncé la mort de trois «terroristes vétérans» lors d'un accrochage avec l'armée à Jijel (nord-est)