Une foule des grands jours est venue assister à l'interrogatoire de l'accusé « numéro un » des attentats du 13-Novembre, Salah Abdeslam, mutique pendant les cinq ans d'enquête, puis éruptif et provocateur au début du procès.
Pendant plus de sept heures, celui qui s'estime « diabolisé » ne renie pas son adhésion à l'organisation Etat islamique, et assure qu'il n'est « pas un danger pour la société ».
Sur les marches du Palais de Justice, des magistrats en robe noire ont brandi des affiches sur lesquelles on pouvait lire: «la destruction du CSM est une violation aux droits et libertés»
Selon le président Saied «la magistrature est une fonction et non pas un pouvoir et tous les juges sont soumis à la loi»
«La Cour de cassation a jugé nécessaire l'existence en droit syrien d'une incrimination comparable à celle du droit français (...) pour retenir la compétence extraterritoriale des juridictions françaises en matière de crimes internationaux»
Cela pourrait concerner 36 enquêtes préliminaires sur les 75 menées actuellement par le parquet national antiterroriste en matière de crimes contre l'humanité
Après avoir suspendu le Parlement élu et limogé le gouvernement en juillet, le président Saied a dissous samedi le CSM, une instance indépendante créée en 2016 pour nommer les juges
Dans un communiqué publié mercredi, 45 associations et ONG, dont Avocats Sans Frontières et l'Organisation mondiale contre la Torture (OMCT), ont condamné la dissolution du CSM
Claude Guéant dont l'incarcération pour non respect d'obligations liées à une condamnation a constitué une première en France, a quitté ce mercredi la prison de la santé à Paris
L'ancien ministre de l'intérieur a bénéficié d'une mesure de libération conditionnelle, dans le cadre d'un aménagement de sa peine
La préfecture de police de Paris a annoncé mardi soir interdire la manifestation à l'appel de ces footballeuses au motif qu'elle pourrait attirer des contre-manifestants
Les jeunes femmes avaient donné rendez-vous à 16h30 sur l’Esplanade des Invalides, juste à côté de l’Assemblée Nationale
La justice française doit se prononcer ce mardi sur le sort de Djakhar Oisaev, qui selon les autorités, est radicalisé et représente une «menace pour la sûreté de l'Etat»
Pour la défense, si son statut lui a été retiré, Djakhar Oisaev conserve sa qualité de réfugié, ce qui signifie en droit qu'il reste exposé "à des traitements inhumains et dégradants" dans son pays d'origine