La région de Baalbeck, où le Hezbollah est fortement implanté, est régulièrement visée par de violents raids aériens depuis qu'Israël a intensifié ses bombardements
"La frappe a eu lieu à environ 500 à 700 m de la citadelle, et n'a visé ni la citadelle ni son enceinte", a déclaré le gouverneur de Baalbeck, Bachir Khodr.
Plus d'un millier de manifestants en colère étaient rassemblés devant la Maison Blanche, beaucoup exigeant la fin de l'aide militaire américaine à son allié stratégique Israël.
En France, ils étaient également des milliers à défiler à Paris et dans plusieurs autres villes pour marquer leur "solidarité avec les peuples palestinien et libanais" et demander au gouvernement français d'agir davantage.
L'agence de presse officielle libanaise ANI a rapporté plus de "30 frappes" israéliennes dans la nuit sur plusieurs secteurs de la banlieue sud, fief du Hezbollah, et un correspondant de l'AFP a fait état de frappes dans l'est du pays
Le Premier ministre libanais, Najib Mikati, a appelé le monde à "faire pression sur Israël" pour un cessez-le-feu, alors que selon les autorités libanaises, 23 personnes sont mortes samedi, un bilan n'incluant pas les frappes nocturnes.
Aujourd'hui, estime un responsable du ministère de l'Education, "40% des élèves du pays sont déplacés".
Au total, plus de 1,2 million de personnes ont été jetées sur les routes depuis le début des bombardements massifs israéliens le 23 septembre, et dorment désormais pour nombre d'entre eux dans plus de 600 écoles.
Le mouvement a déclaré que ses combattants avaient lancé "un escadron de drones explosifs sur la base de maintenance et de réhabilitation au sud de Haïfa"
En guerre, le Liban l’est depuis plusieurs décennies, cela n’a pas empêché Nada d’y vivre, de travailler, et de profiter des moindres accalmies pour renouer avec ses habitudes
Mais cette fois-ci tout semble différent, tout le monde dans son entourage familial et amical lui a déconseillé de rentrer à Beyrouth