Des milliers de Syriens se sont pressés jeudi devant leur ambassade au Liban pour élire leur président
Les ressortissants vivant à l'étranger sont appelés aux urnes avant leurs compatriotes au pays pour un scrutin qui devrait offrir un quatrième mandat à Bachar al-Assad
«L'administration a été contrainte d'augmenter les prix parce qu'ils ne couvraient plus les coûts de production»
Des dizaines de personnes se sont rassemblées dans plusieurs localités, notamment à Qamichli où les commerçants ont pris part au mouvement sur le marché de la ville, selon des correspondants de l'AFP
Plusieurs incidents se sont produits cette année le long de la frontière nord, révèle une source militaire libanaise à Arab News
Les autorités exhortent les citoyens à éviter les zones à risque, à rester sur les routes goudronnées, et à ne pas s'approcher ou manipuler des objets suspects
Le parquet général a requis la confirmation de la peine de quatre ans d'emprisonnement prononcée en juin 2020 par le tribunal correctionnel
Contraint à l'exil en 1984 après un coup d'État manqué contre son frère, il s'était installé en Suisse puis en France. Il se présente aujourd'hui comme un opposant à son neveu Bachar al-Assad
Malgré des critiques internationales, des centaines de Syriens se voient privés de leur permis de séjour au Danemark, qui juge la situation à Damas et sa région désormais «sûre»
En matière d'immigration, les gouvernements danois successifs ne cessent de resserrer la vis, forts du soutien de l'opinion et de la majorité du spectre politique.
L’incendie a été rapidement maitrisé par l'équipage et n’a pas fait de victimes
Banias abrite une raffinerie qui couvre une partie importante de la demande du pays en diesel, carburant de chauffage, essence et autres produits pétroliers
Hasna al-Hariri a été transférée à Azraq après avoir reçu l'ordre des autorités jordaniennes de «cesser ses activités politiques»
Agée de 59 ans et originaire de Deraa, berceau du soulèvement de 2011, al-Hariri a perdu trois fils, quatre frères et son mari durant la révolte contre le régime de Damas
Ali, qui vit en Turquie depuis 2013, a été accusé d'avoir «provoqué la haine et l'animosité du public» par des tweets condamnant le gazage par la police de fidèles de la mosquée de Gaziantep
«Cette affaire est symbolique pour signaler à tous les autres réfugiés en Turquie qu’ils doivent garder leur liberté d'expression sous contrôle et s'autocensurer», explique l’avocate du réfugié syrien