«Dégage», «Ensemble contre le fascisme et l'apartheid», «Démocratie en danger», pouvait-on lire sur des pancartes
Les protestataires à Tel-Aviv ont également ressorti les tshirts et banderoles barrés de la mention «Crime minister» («ministre du crime») en référence à l'inculpation de Benyamin Netanyahou pour corruption
M. Netanyahou avait annoncé mercredi soir être en mesure de former le prochain gouvernement avec ses partenaires des partis ultra-orthodoxes et d'extrême-droite
Vainqueur avec ses alliés des élections législatives du 1er novembre, il avait jusqu'au 11 décembre pour annoncer son gouvernement
Selon les projections actualisées dans la nuit de mardi à mercredi par trois grandes chaînes israéliennes, le parti de Netanyahou est crédité de 30 ou 31 sièges, sur les 120 du Parlement
Suivent ensuite neuf partis, dont l'alliance d'extrême droite «Sionisme religieux» de Bezalel Smotrich et Itamar Ben Gvir avec 14 sièges