Le principal objectif du Riyadh Initiative Network est de développer un outil rapide et efficace pour lutter contre les crimes de corruption transfrontalière
Le président de l'Autorité de l'instance de contrôle et de lutte contre la corruption dirigera la délégation du Royaume lors de la session au siège des Nations unies à Genève
L’Instance nationale de lutte contre la corruption est devenue l’un des enjeux de la bataille pour le pouvoir entre le camp du président Kais Saïed, et la majorité parlementaire, dominée par Ennahdha
En s’érigeant en concurrents de l’INLUCC, les dirigeants et les députés de la majorité veulent réduire sa capacité de nuire à leurs intérêts, et empêcher le président Saïed de l’instrumentaliser à son profit
En mai 2015, le département américain de la Justice avait inculpé 14 personnes, dont 9 hauts responsables de la Fifa
La banque et ses employés «ont facilité les pots-de-vin et le service de conformité a fermé les yeux sur les signaux d'alerte flagrants de blanchiment d'argent»
En 2014, le pays candidat à l'Union européenne a contracté un emprunt de 944 millions de dollars auprès d'une banque chinoise pour la réalisation par la compagnie chinoise CRBC d'un premier tronçon d'une quarantaine de kilomètres
La première échéance tombe en juillet dans un pays où le PNB s'élevait à moins de cinq milliards d'euros avant le coronavirus
Allant de la corruption aux assassinats politiques en passant par le trafic de drogue et le viol, les accusations de M. Peker visent le cercle rapproché de M. Erdogan
Après avoir gardé le silence, M. Erdogan, sans citer directement M. Peker, a vigoureusement défendu mercredi son gouvernement et le ministre de l'Intérieur, au cœur des accusations
Proche de l'ex-président Joseph Kabila, au pouvoir de 2001 et 2019, l'homme d'affaires a fait office d'intermédiaire sur les plus gros contrats du pays pendant près de 20 ans
L'actuel président, Félix Tshisekedi, «n'a pour l'heure pris aucune mesure visant à enquêter sur les transactions minières de Dan Gertler»
Le parquet général a requis la confirmation de la peine de quatre ans d'emprisonnement prononcée en juin 2020 par le tribunal correctionnel
Contraint à l'exil en 1984 après un coup d'État manqué contre son frère, il s'était installé en Suisse puis en France. Il se présente aujourd'hui comme un opposant à son neveu Bachar al-Assad