La banque centrale turque a dépensé près de 30 milliards de dollars pour soutenir la monnaie nationale entre le 1er janvier et le scrutin présidentiel
Lors de sa prise de fonction dimanche, M. Simsek, partisan d'une politique économique orthodoxe, a averti qu'il faudrait revenir à des «mesures rationnelles» pour redresser l'économie
«La relation entre l'art et l'argent ne saurait se réduire à des considérations économiques», souligne Jean-Michel Bouhours, commissaire de l'exposition
Un parcours, chronologique et thématique en six parties, embarque le visiteur pour un voyage le faisant traverser plus de deux millénaires d'histoire autour de «l'argent dans l'art»
Le Liban avait adopté le 1er février un nouveau taux de change officiel de 15 000 livres (LL) pour un dollar américain au lieu du taux de 1 507 LL, observé depuis plus de deux décennies, soit une dévaluation de près de 90%
Les banques ont repris mardi une grève illimitée qui avait débuté début février pour protester contre ce que l'Association des banques libanaises avait qualifié de mesures judiciaires «arbitraires» contre les créanciers
De nombreux Nigérians travaillent dans le secteur informel de l'économie et ont uniquement recours à l'argent liquide pour leurs transactions quotidiennes
Depuis plus d'un mois, d'immenses files d'attente se forment devant les banques, incapables de distribuer de nouveaux billets en quantité suffisante, plongeant la population (dont la moitié vit dans une extrême pauvreté) dans une immense détresse
Vers 14H50 GMT (15H50 à Paris), la livre prenait 0,64% à 1,2020 dollar et 0,26% à 88,08 pence pour un euro
La hausse de la devise s'est accélérée après l'annonce par les médias britanniques d'un nouvel accord concernant les dispositions post-Brexit en Irlande du Nord
La livre s'échangeait à plus de 75 000 pour un billet vert selon des sites surveillant le taux de change et des cambistes, alors que début février, elle s'échangeait autour de 60 000 LL pour un dollar
Les supermarchés ont cessé d'indiquer les prix des denrées alimentaires ces derniers jours à cause de la dégradation rapide de la livre, dans un pays qui dépend principalement des importations
«Les conditions du FMI que nous allons devoir accepter dépassent l'imagination. Mais nous devrons les accepter», a annoncé vendredi le Premier ministre pakistanais, Shehbaz Sharif
L'économie du cinquième pays le plus peuplé au monde s'est effondrée parallèlement à une crise politique latente