Un porte-parole militaire a confié aux journalistes qu’il n’y a aucun dommage structurel aux bâtiments autour de l’hôpital Al-Ahli al-Arabi ou de cratère correspondant à une frappe aérienne
Le porte-parole a également accusé le Hamas d’avoir exagéré le nombre de victimes de l’explosion
Le Hamas a pointé du doigt Israël, tandis que l'armée israélienne a assuré avoir des "preuves" de la responsabilité de l'organisation palestinienne Jihad islamique
Martelant le droit d'Israël "à se défendre", la présidente de la Commission a précisé que cela devait se faire "conformément au droit international", une précision qu'elle n'avait pas mentionnée lors d'un déplacement en Israël vendredi
Dans le même temps, les Etats-Unis ont relevé de 3 à 4 (le plus élevé) le niveau d'alerte de leur avis aux voyageurs, déconseillant à tout ressortissant américain de se rendre au Liban
"Ne voyagez pas au Liban en raison de la situation sécuritaire imprévisible liée aux tirs de roquettes, missiles et d'artillerie entre Israël et le Hezbollah ou d'autres factions armées militantes"
Les entretiens ont porté sur les derniers développements à Gaza et les efforts mondiaux qui visent à établir un cessez-le-feu dans le cadre du conflit entre Israël et le Hamas
Les dirigeants ont par ailleurs abordé les moyens de protéger les civils innocents de la riposte militaire israélienne, selon l’agence de presse saoudienne
Le Qatar a déclaré que «l'extension des attaques israéliennes sur la bande de Gaza aux hôpitaux, aux écoles et à d'autres centres de population constitue une escalade dangereuse»
Pour le roi de Jordanie, le bombardement de l'hôpital de Gaza par Israël constitue un «massacre» et un «crime de guerre» que l'on ne peut passer sous silence
«L’Occident doit cesser de protéger Israël de toute reddition de comptes», a déclaré Houssam Zomlot lors d’une conférence de presse à laquelle Arab News a assisté
«Nous ne permettrons pas un nouveau cycle de nettoyage ethnique de masse en Palestine. Nous ne permettrons pas une deuxième Nakba», a-t-il dénoncé
Des centaines de personnes ont été tuées mardi soir dans un tir sur l'enceinte d'un hôpital de la ville de Gaza, suscitant de vives réactions à l'étranger
Le tir a suscité de nombreuses condamnations d'Israël émanant de pays arabes, et des manifestants ont pris les rues à Amman et Tunis