Le 5 septembre, deux jours après le départ de France du transporteur de bétail, les autorités algériennes avaient interdit le débarquement des bovins sur leur sol
Les taurillons sains avaient été vaccinés contre la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR)
La cour d'appel de Paris estime «important» le risque qu'Amir Boukhors ne bénéficie pas «des droits attachés aux nécessités de sa défense et au respect de sa personne»
«Cette décision est une preuve encourageante de l'indépendance de la justice française face à l'acharnement judiciaire des autorités algériennes», a réagi son avocat Me Eric Plouvier