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La naissance de l’iPhone

L’iPhone a été mis en vente le 29 Juin 2007 (AFP)
L’iPhone a été mis en vente le 29 Juin 2007 (AFP)
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Publié le Mardi 08 décembre 2020

La naissance de l’iPhone

  • Le 9 janvier 2007, le fondateur d’Apple, Steve Jobs, présente l’iPhone
  • Apple est devenu la première compagnie publique à passer le cap de $1 trillion de capitalisation boursière

Le smartphone lancé à l’origine par Steve Jobs a évolué pour devenir un produit de base de la vie quotidienne.

Résumé

Le 9 janvier 2007, le fondateur d’Apple, Steve Jobs, présente l’iPhone, un appareil révolutionnaire réunissant en un seul et même produit les 3 fonctions de lecteur de musique, téléphone et terminal de communication internet. Cet appareil, mis en vente le 29 juin 2007, a changé notre manière de travailler et de nous divertir.

Jobs, dont le père biologique est né en Syrie et a étudié à l’Université américaine de Beyrouth, a fait d’Apple le chef de file mondial dans le domaine de la technologie. Sept années après sa mort en 2011, Apple est devenu la première compagnie publique à passer le cap de $1 trillion de capitalisation boursière. 

 

LONDRES - Le 9 janvier 2007, le cofondateur et ancien PDG d’Apple, Steve Jobs, a dévoilé au public l’iPhone, le décrivant comme un appareil remplissant trois fonctions et combinant donc celles de l’iPod, du téléphone et du terminal de communication internet. Le tout premier iPhone, avec un écran de 3,5 pouces, un capteur photo de 2 Mégapixels, et une capacité de 16 go de mémoire, ne supportait pas d’applications tierces. Mais nos vies n’ont plus été les mêmes depuis son lancement.  

Ce n’était pas le premier ‘smartphone’ à bénéficier d’un large écran tactile et d’une connectivité internet mais c’était le plus élégant, plaçant l’expérience de l’utilisateur au cœur des fonctionnalités et de la forme. Aujourd’hui, plus de 5 milliards de personnes dans le monde utilisent des services mobiles, selon une étude de la GSMA. Une génération entière ignore à quoi ressemblait la vie avant l’iPhone.

L’ampleur avec laquelle cet appareil révolutionnaire a stupéfait le monde il y a 13 ans est illustrée par le fait que dans son édition du 11 janvier 2007, Arab News a couvert le lancement de l’iPhone, mais pas à la une… à la page 18, dans la rubrique économique. Néanmoins, le titre de l’article était visionnaire, décrivant l’iPhone comme « un internet de poche ».  

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« Lors de sa démonstration, (Jobs) a accédé au service d’imagerie par satellite de Google et, en quelques secondes, il a zoomé sur le monument de Washington, puis la Tour Eiffel et a finalement consulté la valeur boursière en forte hausse d’Apple. Il a également passé un appel téléphonique à un café local et commandé, en blaguant, 4 000 cafés lattés pour les personnes présentes dans l’audience ».  

Extrait d’un article AFP couvrant le lancement d’Apple à la conférence Macworld, paru dans la rubrique économique d’Arab News le 11 janvier 2007.

De nos jours, tout peut être fait à travers un smartphone, notamment travailler, communiquer, faire ses achats, voyager, gérer ses finances et se divertir. Ce produit Apple a rendu nos vies plus simples depuis son premier lancement en 2007. Ses fonctions et applications ont remplacé les CD et DVD, et radicalement changé la façon de regarder la télévision.  Les chaînes d’information ont dû s’y adapter, en lançant des services numériques pour une génération de consommateurs pointilleux et sélectifs.

Jobs, dont le père biologique est né en Syrie et a étudié à l’Université américaine de Beyrouth, a fait d’Apple le chef de file mondial dans la technologie, à travers les lancements de l’iPod, de l’iPhone et de l’iPad. Il a également poussé les acteurs d’autres industries à demeurer sur le qui-vive, les forçant à tenter de s’adapter à un monde en rapide évolution qu’il avait contribué à créer.

Sans la créativité de Jobs, les influenceurs n’auraient pas bénéficié de plateformes pour exercer leur influence. Facebook, Twitter, Instagram, YouTube, TikTok et beaucoup d’autres n’auraient pas connu leur succès actuel si le smartphone n’avait pas existé. L’iPhone a permis à ses utilisateurs de jouer un rôle actif dans la collection, transmission, analyse, et dissémination de l’information. Apple a offert à chaque utilisateur la possibilité de devenir journaliste.

Le journalisme citoyen a permis de révéler des affaires de corruption, de dénoncer des actes de violence et de répression à travers le monde et plus spécialement au Moyen-Orient. Cela a contribué à la naissance de révoltes, passées ou actuelles.  L’étudiante Neda Agha-Soltan a été tuée durant des manifestations en Iran en 2009. Son meurtre a été filmé sur un téléphone portable et diffusé à travers le monde sur YouTube, faisant de cette étudiante un symbole du mouvement de protestation.

Grace aux téléphones portables, l’Iran figurait en tête de liste des recherches par sujet (trends) Twitter à la fin de l’année 2009. C’est à ce moment que je me suis décidé à faire de la ‘technologie militante’ le sujet de ma thèse dans le cadre de mon mastère en médias numériques.

La révolution égyptienne de 2011 a été un autre moment clé de développement pour les utilisateurs de téléphones mobiles et de réseaux sociaux. A cette époque, le gouvernement avait décidé de déconnecter tous les réseaux de communication afin d’entraver les réunions et les mouvements des protestataires.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a effectué un appel via ‘FaceTime’ à une chaîne de télévision turque durant la tentative de coup d’état qu’il a déjouée en 2016. Certains ont affirmé que cet appel l’avait sauvé.

Depuis les années 2000, nous avons cessé d’effectuer tous nos appels via le réseau téléphonique standard et nous sommes passés aux appels Wifi. Nous sommes ensuite devenus accros aux textos. Les premières fonctionnalités de l’iPhone semblent aujourd’hui primitives. L’iPhone 3G a amené une évolution, étant doté de nouvelles fonctions majeures telles que les capteurs de mouvement et de localisation GPS, le support pour les réseaux 3G et offrant des performances supérieures.

« Jobs, dont le père biologique est né en Syrie et a étudié à l’Université américaine de Beyrouth, a fait d’Apple le chef de file mondial dans la technologie, à travers les lancements de l’iPod, de l’iPhone et de l’iPad ».

Arkan Aladnan

C’est l’App Store qui a transformé l’iPhone, d’un simple appareil permettant l’accès à l’internet, à une plateforme informatique. Aujourd’hui, ce ‘magasin d’applications’ en comporte plus de 2 millions, offrant une plateforme de travail à de nouvelles entreprises et créant tout une économie autour, de Snapchat à Uber, en passant par Instagram.

L’iPhone 3GS a apporté quelques améliorations supplémentaires, telles qu’une caméra plus performante et une plus longue durée de vie de la batterie. L’iPhone 4 a été lancé en 2010, proposant le premier changement majeur dans la forme de l’appareil depuis son lancement initial en 2007. L’iPhone 4S a introduit l’assistant vocal Siri développé par Apple. Plus de gadgets et d’accessoires – tels que la montre Apple, le Mac et le HomePod – ont également été créés pour élargir les fonctions et les horizons de l’iPhone.   

 

Extrait des archives d’Arab News, le 11 janvier 2007
Extrait des archives d’Arab News, le 11 janvier 2007

 

L’iPhone 5 était le premier smartphone créé par Apple à être équipé du port de chargement Lightning (connecteur). Vint ensuite l’iPhone 5S, le premier produit Apple offrant le capteur d’empreintes digitales ‘Touch ID’. L’iPhone 5C était une version plus abordable qui ne proposait pas de capteur d’empreintes digitales. Avec les iPhones 6 et 6 Plus, les écrans plus larges, pour concurrencer les smartphone Android, firent leur apparition. L’iPhone 6 introduit également un processeur plus performant et un espace de stockage plus conséquent.

L’iPhone 7 et l’iPhone 7 Plus étaient les premiers à ne pas être équipés de prise casque Jack. Les ‘Airpods’, des écouteurs sans fil, furent donc lancés simultanément. L’iPhone X a été introduit en même temps que le 8 et le 8 Plus. Ils étaient les premiers smartphones d’Apple à bénéficier d’un écran OLED recouvrant pratiquement toute la surface de l’appareil, d’une fonction de reconnaissance faciale, et étaient caractérisés par la disparition du bouton ‘home’.

L’iPhone 11, avec son prix d’achat relativement bas de $700 et une gamme de couleurs étendue, est essentiellement le successeur de l’iPhone XR. Avec un double appareil photo, il est équipé du téléobjectif à l’ultra grand‑angle offrant un champ de vision élargi. Il a introduit également un mode nuit pour les photos et un processeur plus performant. Les iPhone 11 et 11 Max, plus chers, se distinguent par l’intégration d’un triple capteur photo, et ont offert une finition nouvelle mate ainsi qu’un capteur de 12 mégapixels.

 

Arkan Aladnani, directeur international des opérations à Arab News, se souvient d’avoir attendu son tour dans la file pour acquérir le premier iPhone à New York.


L'Arabie saoudite approuve le budget 2026 avec 306 milliards de dollars de recettes prévues

 Le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane a approuvé le budget 2026 du royaume lors d'une réunion du cabinet à Dammam mardi. (SPA)
Le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane a approuvé le budget 2026 du royaume lors d'une réunion du cabinet à Dammam mardi. (SPA)
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  • Le budget 2026, approuvé mardi par le prince héritier Mohammed ben Salmane lors d'une réunion du cabinet à Dammam, fixe les dépenses totales à 1,31 trillion de SR
  • Le déficit budgétaire devrait atteindre environ 165 milliards de SR en 2026, soit 3,3 % du PIB, grâce à des politiques de dépenses anticycliques ciblées

RIYADH : L'Arabie saoudite devrait générer des recettes de 1,15 trillion de francs suisses (306 milliards de dollars) en 2026, soit une augmentation de 5,1 pour cent par rapport à l'estimation de 2025, soulignant les gains du programme de diversification économique en cours du Royaume.

Le budget 2026, approuvé mardi par le prince héritier Mohammed ben Salmane lors d'une réunion du cabinet à Dammam, fixe les dépenses totales à 1,31 trillion de SR, soit un peu moins que les 1,34 trillion de SR prévus pour 2025, selon la déclaration budgétaire publiée par le ministère des Finances.


Les accords conclus entre l'Arabie saoudite et les États-Unis à Washington

Le président américain Donald Trump et le prince héritier saoudien Mohammed bin Salman aux côtés du PDG de Tesla, Elon Musk, du PDG de Nvidia, Jensen Huang, et d'autres personnes lors du Forum d'investissement américano-saoudien à Washington, DC. le 19 novembre 2025. (SPA)
Le président américain Donald Trump et le prince héritier saoudien Mohammed bin Salman aux côtés du PDG de Tesla, Elon Musk, du PDG de Nvidia, Jensen Huang, et d'autres personnes lors du Forum d'investissement américano-saoudien à Washington, DC. le 19 novembre 2025. (SPA)
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  • La valeur déclarée des accords annoncés au cours de la visite s'élève à environ 557 milliards de dollars
  • Cette visite a été marquée par une rencontre entre le prince héritier et le président Donald Trump, ainsi que par leur participation conjointe au Forum d'investissement saoudo-américain, auquel assistent d'éminents investisseurs et de grandes entreprises

L'Arabie saoudite et les États-Unis, ainsi que plusieurs entreprises et institutions des deux pays, ont signé une série d'accords et de protocoles d'accord lors de la visite du prince héritier Mohammed bin Salman à Washington les 18 et 19 novembre 2025. Cette visite a été marquée par une rencontre entre le prince héritier et le président Donald Trump, ainsi que par leur participation conjointe au Forum d'investissement saoudo-américain, auquel assistent d'éminents investisseurs et de grandes entreprises.

Vous trouverez ci-dessous une liste complète de tous les accords conclus.

Accords gouvernementaux
1. L'accord de défense stratégique entre l'Arabie saoudite et les États-Unis (SDA) ouvre la voie à une coopération militaire plus large, englobant les transferts de technologie, les programmes de formation conjoints et la fourniture d'armements.

a. Un accord de défense historique qui réaffirme un partenariat militaire de plus de huit décennies et renforce la dissuasion régionale.

b. Des dispositions visant à faciliter les opérations des entreprises de défense américaines en Arabie saoudite.

c. Mise en place de mécanismes de partage de la charge financière de la sécurité entre les deux pays.

d. Annonce officielle de la désignation de l'Arabie saoudite comme "allié majeur non membre de l'OTAN".

e. Le président Trump a officiellement conféré à l'Arabie saoudite le statut d'"allié majeur non membre de l'OTAN".


2) Accord nucléaire. Une déclaration conjointe a été publiée pour finaliser les négociations sur la coopération dans le domaine de l'énergie nucléaire civile.

a. Établit un partenariat à long terme dans le domaine du développement nucléaire civil.

b. Positionne les entreprises américaines comme les partenaires privilégiés dans la construction du programme d'énergie nucléaire de l'Arabie Saoudite.

c. Lier la coopération aux normes de non-prolifération et à la surveillance réglementaire internationale.

3) Minéraux rares et critiques. Un cadre gouvernemental commun pour coordonner les politiques relatives aux minéraux stratégiques.

a. Cherche à diversifier les chaînes d'approvisionnement mondiales et à réduire la dépendance à l'égard de la Chine.

b. Couvre l'exploration, le raffinage et le développement des chaînes de valeur.

4) Intelligence artificielle. Protocole d'accord stratégique sur l'intelligence artificielle.

a. Accorde à l'Arabie saoudite l'accès aux technologies avancées d'intelligence artificielle, avec la mise en place de garde-fous pour protéger les systèmes propriétaires.

b. Vise à faire de l'Arabie saoudite un leader mondial dans le domaine de l'intelligence artificielle.

c. Englobe la collaboration en matière de recherche, d'infrastructure informatique et de renforcement des capacités humaines.

5) Accélérer les investissements. Un cadre stratégique conçu pour accélérer les flux d'investissement entre l'Arabie saoudite et les États-Unis.

a. Rationaliser les autorisations d'investissement et accélérer le lancement de coentreprises dans des secteurs tels que l'énergie, les infrastructures, la technologie et la défense.

b. Inclut l'alignement réglementaire sur les normes des véhicules.

c. Reconnaissance par l'Arabie saoudite que les véhicules et les pièces détachées conformes aux normes américaines satisfont aux exigences nationales en matière de sécurité.

6) Accords de coopération financière et bancaire entre le département américain du Trésor et le ministère saoudien des finances afin d'approfondir la coopération dans les domaines suivants :

a. Marchés des capitaux

b. Technologies financières (FinTech)

c. Normes réglementaires

d. Institutions financières internationales


Défense et marchés d'armes
 

1. Marché des avions de combat F-35. Les États-Unis autorisent la vente d'avions de combat F-35 à l'Arabie saoudite dans le cadre d'un programme de défense plus large.

a. Un accord portant sur l'achat de près de 300 chars américains ultramodernes destinés à renforcer la puissance opérationnelle des forces terrestres saoudiennes.

b. Une coopération renforcée en matière de planification opérationnelle et de coordination de la défense.

c. Dispositions visant à faciliter le déploiement de systèmes de défense tels que Patriot et THAAD en Arabie saoudite.

d. Des niveaux plus élevés de coopération en matière de renseignement et d'échange d'informations.

Les engagements d'investissement saoudiens aux États-Unis approchent le milliard de dollars, couvrant des projets d'infrastructure, d'énergie, d'industrie et de technologie.

Énergie et nucléaire
1. Énergie nucléaire civile. Un accord de coopération nucléaire civile.

a. Affirme que les activités d'enrichissement et de retraitement ne seront pas autorisées en Arabie Saoudite.

b. Ouvre la voie à la construction de réacteurs nucléaires utilisant la technologie américaine.

c. Intègre des modalités de financement à long terme.

2.  Énergie (pétrole, gaz et services) Un ensemble de protocoles d'accord entre Saudi Aramco et des entreprises américaines, d'une valeur de plus de 30 milliards de dollars, comprenant :

a. Investissements dans le projet de gaz naturel liquéfié à Lake Charles en partenariat avec MidOcean Energy.

b. Un accord avec Commonwealth LNG.

c. Des collaborations dans le domaine des services et technologies pétroliers avec Baker Hughes et Halliburton.

d. Partenariats financiers avec Blackstone et J.P.Morgan.

Minéraux rares et critiques

Un cadre gouvernemental sur les minéraux critiques couvrant l'uranium, les aimants permanents et les chaînes d'approvisionnement. Une coentreprise américano-saoudienne avec MP Materials pour établir une raffinerie de terres rares dans le pays.

Structure de propriété :

Maaden : au moins 51%.

MP Materials et le ministère américain de la défense : 49%

Objectif : réduire la dépendance mondiale à l'égard de la Chine pour le raffinage des terres rares : Réduire la dépendance mondiale à l'égard de la Chine pour le raffinage des terres rares.


1. Accords gouvernementaux

a. Le partenariat stratégique saoudo-américain en matière d'IA

I. Fourniture de GPU avancés dans le pays.

II. Développement de centres de données et d'installations de supercalculateurs.

III. Transfert de connaissances et collaboration en matière de recherche et de développement.

2. Partenariats avec le secteur privé dans le domaine de la technologie et de l'intelligence artificielle

a. Projet de centre de données impliquant AMD, Cisco et la société saoudienne HUMAIN.

b. Lancement d'un centre de données d'une capacité de 100 mégawatts en Arabie saoudite, avec des plans pour passer à 1 gigawatt.

c. Le projet Halo : un supercentre de calcul de 2 gigawatts en partenariat avec HUMAIN et Luma AI.

d. Partenariat avec xAI d'Elon Musk

e. Un projet informatique de 500 mégawatts en collaboration avec Nvidia.

f. Centre d'ingénierie de l'IA : Un partenariat entre Qualcomm et HUMAIN avec le soutien d'Adobe.


Investissements et finances publics
1. Les engagements d'investissement saoudiens aux États-Unis approchent 1 milliard de dollars, couvrant des projets d'infrastructure, d'énergie, d'industrie et de technologie.

2. Des accords d'une valeur de 270 milliards de dollars ont été signés lors du Forum d'investissement américano-saoudien.

3. Les estimations des médias suggèrent que la valeur totale des accords annoncés au cours de la visite s'élève à environ 557 milliards de dollars.

4. Confirmation que les États-Unis restent le premier investisseur étranger en Arabie saoudite, représentant environ 25 % du total des investissements directs étrangers.

Partenariats avec le secteur privé
1. Compagnies énergétiques et pétrolières américaines

a. Baker Hughes

b. Halliburton.

2. Entreprises d'investissement et financières
a. Blackstone Inc.
b. J.P.Morgan.

3. Entreprises de divertissement et d'infrastructures créativesAssurer la participation des petites et moyennes entreprises américaines à la recherche de partenariats dans :

a. Le divertissement.
b. Le sport.
c. Les grands événements.
d. Infrastructures créatives, telles que Convergenz.

Cet article a été publié pour la première fois sur Al-Majalla.


Arabie saoudite : les transactions POS dépassent 3 Mds $, les hôtels en hausse

Les dépenses dans les hôtels affichent la plus forte augmentation, avec 19,8 %. (Shutterstock)
Les dépenses dans les hôtels affichent la plus forte augmentation, avec 19,8 %. (Shutterstock)
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  • Les transactions par terminaux de paiement en Arabie saoudite dépassent 12,5 milliards de riyals hebdomadaires
  • Les données de la SAMA montrent un repli dans la majorité des catégories et dans les grandes villes, mais confirment la croissance continue des paiements numériques, en ligne avec la Vision 2030

RIYAD : Le total des transactions par terminaux de paiement (POS) en Arabie saoudite est resté au-dessus du seuil des 3 milliards de dollars lors de la semaine se terminant le 22 novembre, atteignant 12,5 milliards de riyals (3,3 milliards de dollars).

Selon les dernières données de la Banque centrale saoudienne (SAMA), le montant global des paiements par POS représente une baisse hebdomadaire de 4,4 %, tandis que le nombre total de transactions a diminué de 5,4 %, passant à 220,15 millions contre 232,67 millions la semaine précédente.

Cinq catégories ont enregistré une légère hausse, les dépenses hôtelières affichant la plus forte progression, en hausse de 19,8 % à 381,98 millions de riyals, suivies de la location automobile et d’équipements, en hausse de 10,8 % à 578,2 millions de riyals.

Les dépenses en soins personnels ont progressé de 4,8 %, suivies d’une hausse de 4,5 % pour les livres et la papeterie. Les achats de bijoux ont augmenté de 3,2 %, atteignant 335,8 millions de riyals.

Les données montrent des baisses dans le reste des catégories, l’éducation enregistrant la plus forte diminution : –17,6 % à 104,48 millions de riyals. Les achats en pharmacies et fournitures médicales suivent avec une baisse de 11,2 % à 197,2 millions de riyals.

Les dépenses en alimentation et boissons ont reculé de 8,6 % à 1,8 milliard de riyals, tout en restant la plus grande catégorie de dépenses. Les restaurants et cafés suivent malgré une baisse de 3,8 % à 1,6 milliard de riyals.

L’habillement a diminué de 4 % à 1,13 milliard de riyals, représentant la troisième plus grande part des dépenses POS de la semaine observée.

Les principales zones urbaines du Royaume reflètent la tendance nationale. Riyad, qui représente la part la plus importante des dépenses POS, a enregistré une baisse de 4,9 %, à 4,46 milliards de riyals, contre 4,68 milliards la semaine précédente. Le nombre de transactions dans la capitale a reculé à 72 millions, soit –6,3 % sur une semaine.

À Djeddah, la valeur des transactions a diminué de 1,8 % à 1,72 milliard de riyals, tandis que Dammam a enregistré une baisse de 4,1 % à 621,22 millions de riyals.

Les données POS, suivies chaque semaine par la SAMA, constituent un indicateur des tendances de consommation et de la progression continue des paiements numériques en Arabie saoudite.

Elles mettent également en lumière l’expansion de l’infrastructure POS, désormais déployée au-delà des grands centres commerciaux, jusque dans les plus petites villes et services, soutenant les efforts d’inclusion numérique.

Le développement des technologies de paiement numérique s’inscrit dans les objectifs de la Vision 2030, favorisant les transactions électroniques et contribuant à l’économie numérique du Royaume.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com